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24 janvier 2019
Les couches jetables seraient nocives pour la santé des bébés. Cependant, d’après le rapport de l’Anses, il n’existe pas de preuve que les couches jetables portées par les bébés en France soient néfastes, mais un ’dépassement des seuils sanitaires pour un certain nombre de substances’ a été constaté.
Certaines substances chimiques ont été détectées dans les couches jetables, pouvant présenter des "risques" pour la santé des bébés. Ils devront être éliminées par les fabricants dans les meilleurs délais, a exigé le gouvernement le 23 janvier.
Selon un avis de l’Agence de sécurité sanitaire (Anses), il n’existe "aucune donnée épidémiologique permettant de mettre en évidence une association entre des effets sanitaires et le port de couches". Globalement, l’agence explique qu’il n’y pas de preuve que les couches jetables portées par 95% des bébés de France soient néfastes.
Pour les ministères de la Santé, de l’Economie et de la Transition écologique, la couche jetable "ne met pas en évidence de danger grave et immédiat". Cependant, un dépassement des seuils sanitaires est perçu pour certaines substances.
Malgré tout, "on ne peut pas exclure un risque (...) puisqu’on observe un dépassement des seuils sanitaires pour un certain nombre de substances", a expliqué Gérard Lasfargues, directeur général délégué de l’Anses.
Dux parfums (butylphényl méthyle propional et hydroxyisohexyl 3-cyclohexène carboxaldéhyde), ainsi que de certains hydrocarbures aromatiques polycycliques (parfois cancérogènes), de dioxines ou de furanes, sont scrutés à la loupe.
Il s’agit d’une première évaluation au niveau mondial sur les couches. Raison pour laquelle, l’Anses a utilisé les analyses du Service commun des laboratoires (qui dépend de la répression des fraudes DGCCRF) et de l’Institut national de la consommation (qui édite 60 millions de consommateurs).
L’avis demandé par le gouvernement provient d’un article de 60 millions de consommateurs, qui avait relever la présence de substances chimiques. Un détail que déplore l’Anses, car l’agence a évalué en laboratoire leur risque potentiel "dans des conditions d’usage réalistes".
"On calcule une quantité absorbée en fonction du temps de port de couche, du nombre de couches portées par les bébés, jusqu’à 36 mois, et on compare à des valeurs toxicologiques de référence pour chacune des substances", a expliqué Gérard Lasfargues, précisant qu’un bébé porte entre 3 800 et 4 800 couches.
Certains pesticides comme le glyphosate sont présents dans les analyses, mais pour l’Anses ils ne sont pas dans la liste des substances à risque. Mais pour celles qui dépassent les valeurs toxicologiques de référence, l’Anses recommande "de les éliminer ou de réduire au maximum leur présence".
Une recommandation immédiatement reprise par le gouvernement. "Les ministres exigent des fabricants et des distributeurs qu’ils prennent avant 15 jours des engagements pour éliminer ces substances des couches pour bébé", selon le communiqué commun les trois ministères.
Les industriels devront "prendre dans les meilleurs délais les mesures garantissant la sécurité des produits sur le marché", ajoutent les ministères, invitant dans l’immédiat les parents à se renseigner sur la composition des produits.
Première cible, les parfums, les seuls de ces produits chimiques à être intentionnellement ajoutés par les industriels. Les fabricants devront réévaluer "l’usage de certaines substances ajoutées intentionnellement".
L’Anses veut que les fabricants contrôlent mieux "la qualité des matières premières utilisées" pouvant être contaminées au préalable et qu’ils modifient "les procédés de fabrication susceptibles d’être à l’origine de la formation de certaines substances".
De son côté, la DGCCRF va renforcer les contrôles en 2019 et la gouvernement français devrait plaider à Bruxelles pour des règles européennes plus "protectrices". D’autant plus que dans l’Union européenne, les couches jetables sont soumises à la réglementation générale sur les produits de consommation et non à des règles spécifiques comme certains produits cosmétiques ou les protections pour fuites urinaires.
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