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Face au retour d’épidémies en Afrique de l’Ouest
10 janvier
Le Niger figure parmi les 27 pays identifiés à haut risque de la maladie en raison des données écologiques, de la faiblesse de la couverture vaccinale et de la surveillance épidémiologique. Un communiqué d’OMS Afrique publié le 9 janvier 2025 annonce le lancement d’une grande campagne de vaccination contre la fièvre jaune, maladie transmise par les moustiques.
La fièvre jaune est une maladie virale grave, qui se manifeste par le jaunissement de la peau et des yeux (d’où le nom de la maladie), des urines foncées, des douleurs abdominales accompagnées de vomissements et des saignements de la bouche, du nez, des yeux ou de l’estomac. Elle est transmise par piqure de moustique et est évitable par la vaccination. Pour une couverture effective des populations, les équipes qui seront déployées sur le terrain effectueront la vaccination et le monitorage indépendant des données.
En effet, depuis l’introduction du vaccin contre la fièvre jaune en 1987 et la première campagne réactive en 2022, le Niger s’est engagé dans la stratégie mondiale d’élimination des épidémies de fièvre jaune pour la période 2017-2026 dite EYE (Elimination of Yellow Fever Epidemics en anglais). Celle-ci vise à limiter le risque de propagation en protégeant les populations dans les zones d’endémie et les voyageurs susceptibles de propager la maladie. C’est pour cela que la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire pour les voyageurs, se rendant dans les zones endémiques.
Cette campagne s’inscrit dans le cadre d’une réponse nationale qui couvrira les autres régions dans les mois prochains. Elle fait suite à la résurgence des flambées épidémiques de fièvre jaune en Afrique de l’Ouest. Le Niger figure parmi les 27 pays identifiés à haut risque de la maladie en raison des données écologiques, de la faiblesse de la couverture vaccinale et de la surveillance épidémiologique.
Les autorités sanitaires du Niger en collaboration avec les partenaires de la santé envisagent d’éliminer la fièvre jaune à l’horizon 2026, par le biais de ces campagnes préventives de masse, des campagnes de vaccination réactives auxquelles viennent s’ajouter les efforts fournis à travers la vaccination de routine et les séances de rattrapage.
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