
Sept prix Nobel d’économie exhortent la France à adopter un impôt sur les ultrariches
10 juilletSept prix Nobel d’économie ont appelé à mettre en place un impôt minimum sur les patrimoines des plus riches. Parmi les signataires de cette (…)
Face au retour d’épidémies en Afrique de l’Ouest
10 janvier
Le Niger figure parmi les 27 pays identifiés à haut risque de la maladie en raison des données écologiques, de la faiblesse de la couverture vaccinale et de la surveillance épidémiologique. Un communiqué d’OMS Afrique publié le 9 janvier 2025 annonce le lancement d’une grande campagne de vaccination contre la fièvre jaune, maladie transmise par les moustiques.
La fièvre jaune est une maladie virale grave, qui se manifeste par le jaunissement de la peau et des yeux (d’où le nom de la maladie), des urines foncées, des douleurs abdominales accompagnées de vomissements et des saignements de la bouche, du nez, des yeux ou de l’estomac. Elle est transmise par piqure de moustique et est évitable par la vaccination. Pour une couverture effective des populations, les équipes qui seront déployées sur le terrain effectueront la vaccination et le monitorage indépendant des données.
En effet, depuis l’introduction du vaccin contre la fièvre jaune en 1987 et la première campagne réactive en 2022, le Niger s’est engagé dans la stratégie mondiale d’élimination des épidémies de fièvre jaune pour la période 2017-2026 dite EYE (Elimination of Yellow Fever Epidemics en anglais). Celle-ci vise à limiter le risque de propagation en protégeant les populations dans les zones d’endémie et les voyageurs susceptibles de propager la maladie. C’est pour cela que la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire pour les voyageurs, se rendant dans les zones endémiques.
Cette campagne s’inscrit dans le cadre d’une réponse nationale qui couvrira les autres régions dans les mois prochains. Elle fait suite à la résurgence des flambées épidémiques de fièvre jaune en Afrique de l’Ouest. Le Niger figure parmi les 27 pays identifiés à haut risque de la maladie en raison des données écologiques, de la faiblesse de la couverture vaccinale et de la surveillance épidémiologique.
Les autorités sanitaires du Niger en collaboration avec les partenaires de la santé envisagent d’éliminer la fièvre jaune à l’horizon 2026, par le biais de ces campagnes préventives de masse, des campagnes de vaccination réactives auxquelles viennent s’ajouter les efforts fournis à travers la vaccination de routine et les séances de rattrapage.
Sept prix Nobel d’économie ont appelé à mettre en place un impôt minimum sur les patrimoines des plus riches. Parmi les signataires de cette (…)
Le Parti communiste Chinois (PCC) est né le 23 juillet 1921, à Shanghai, dans la partie colonisée par la France. Le 1er octobre 1949, Mao proclame (…)
Mézami, si mi di azot La Rényon i repoz dsi in volkan, zot va dir amwin, kan mi di sa, dizon mwin la pa di arien. Si mi di demoune lé pa kontan, (…)
En 2019, les émissions de gaz à effet de serre générées sur place à La Réunion, que ce soit par les activités économiques ou les logements et (…)
Mézami, médam zé méssyé,néna dé shoz mi yèm bien dann la tradissyon kréol ;Sé bann kozman i marke la solidarité dann noute sossyété. Zot i koné lo (…)
Les catastrophes climatiques pourraient coûter jusqu’à 5% du PIB de la zone euro d’ici 2030, selon la Banque Centrale Européenne, qui pour (…)
La conférence historique sur le financement du développement à Séville s’est conclue avec un sentiment renouvelé de détermination et un accent mis (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Après les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
En avril 2025, la ministre malgache des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika a déclaré que "la position de Madagascar concernant la (…)
Le CIOM « national » aura bien lieu le 10 juillet au Ministère des Outre-mer, en présence du Premier ministre, François Bayrou et du ministre de (…)
L’État proposerait une transition sur 15 à 20 ans avec, in fine, une consultation sur un ou plusieurs modèles, selon un participant au discours (…)