
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Lutte contre le SIDA
30 septembre 2009
Selon un nouveau rapport publié aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) et le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), plus de quatre millions de personnes bénéficiaient fin 2008 d’un traitement antirétroviral dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, ce qui représente une augmentation de 36% en un an et une multiplication par dix sur cinq ans du nombre de ces patients.
Selon un nouveau rapport publié aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) et le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA (ONUSIDA), plus de quatre millions de personnes bénéficiaient fin 2008 d’un traitement antirétroviral dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, ce qui représente une augmentation de 36% en un an et une multiplication par dix sur cinq ans du nombre de ces patients.
Le rapport, intitulé Vers un accès universel : étendre les interventions prioritaires liées au VIH/SIDA dans le secteur de la santé, fait état d’autres progrès, notamment d’une extension du conseil et du dépistage du VIH et d’un meilleur accès aux services de prévention de la transmission mère-enfant du virus.
« Ce rapport montre que d’immenses progrès ont été faits dans la lutte contre le VIH/SIDA dans le monde », a déclaré le Directeur général de l’OMS, le Dr Margaret Chan. « Mais nous ne devons pas nous nous en tenir là. Au moins cinq millions de personnes vivant avec le VIH n’ont toujours pas accès à un traitement et à des soins qui pourraient améliorer leur espérance de vie. Beaucoup de gens n’ont pas accès aux services de prévention dont ils auraient besoin. Les gouvernements et les partenaires internationaux doivent agir plus vite pour parvenir à l’accès universel au traitement. », a-t-elle ajouté.
L’accès au traitement antirétroviral continue à s’élargir rapidement. Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, 42% des 9,5 millions de personnes qui avaient besoin d’un traitement y avaient effectivement accès en 2008, contre 33% en 2007. C’est en Afrique subsaharienne, où surviennent les deux tiers des infections à VIH, que l’on a constaté les plus grands progrès.
Le prix des antirétroviraux les plus couramment utilisés a très nettement baissé ces dernières années, ce qui a permis de rendre le traitement plus accessible. Cependant, si le prix des traitements de première intention a baissé de 10% à 40% entre 2006 et 2008, les traitements de deuxième intention restent onéreux.
Malgré les récents progrès, les services de traitement sont encore loin de répondre aux besoins et la crise économique mondiale a remis en question leur pérennité. Chez de nombreux patients, le diagnostic est posé tardivement, alors que la maladie a déjà progressé, ce qui entraîne un retard dans l’instauration du traitement antirétroviral et de forts taux de mortalité au cours de la première année.
Selon des données récentes, la disponibilité des services de conseil et de dépistage du VIH s’améliore. Dans 66 pays, le nombre d’établissements de santé qui proposent ces services a augmenté d’environ 35% entre 2007 et 2008.
En outre, de plus en plus de gens ont recours aux services de conseil et de dépistage. Selon les données rapportées, dans 39 pays, le nombre total de tests de dépistage du VIH effectués a plus que doublé entre 2007 et 2008. Toutes régions confondues, 93% des pays ayant rapporté des données proposaient en 2008 le dépistage gratuit du VIH dans les établissements de santé du secteur public.
Néanmoins, la majorité des personnes qui vivent avec le VIH ignorent encore leur statut sérologique. Le faible recours aux services de dépistage s’explique en partie par la méconnaissance des risques d’infection et la crainte de la stigmatisation et de la discrimination.
En 2008, l’accès des femmes et des enfants aux services de prise en charge du VIH s’est amélioré. En 2008, environ 45% – contre 35% en 2007 – des femmes enceintes séropositives ont bénéficié d’un traitement antirétroviral pour éviter la transmission du VIH à l’enfant et, dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, 21% environ des femmes enceintes, contre 15% en 2007, ont bénéficié d’un dépistage du VIH.
Davantage d’enfants bénéficient de programmes pédiatriques de traitement antirétroviral : le nombre de moins de 15 ans ayant reçu un tel traitement est passé d’environ 198 000 en 2007 à 275 700 en 2008, soit 38% de ceux qui en avaient besoin.
À l’échelle mondiale, le SIDA reste la première cause de mortalité chez la femme en âge de procréer. Selon le Directeur général de l’UNICEF, Ann M. Veneman, « Bien que l’on prête une attention croissante aux femmes et aux enfants dans la lutte mondiale contre le VIH/SIDA, la maladie a toujours un effet dévastateur sur leur santé, leurs moyens de subsistance et leur survie ».
En 2008, on a disposé de davantage de données sur l’accès aux services de prise en charge du VIH des populations fortement exposées au risque d’infection, notamment les prostitué(e)s, les hommes homosexuels et les toxicomanes par voie intraveineuse.
Si les interventions permettant de lutter contre le VIH s’étendent à certains endroits, certaines catégories de la population particulièrement exposées ne peuvent accéder aux services de santé en raison d’obstacles techniques, juridiques et socioculturels.
Selon le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé, « Tous les indicateurs montrent que le nombre de personnes qui ont besoin d’un traitement a considérablement augmenté ces dernières années ». « L’accès équitable au traitement sera l’une de nos premières préoccupations et l’ONUSIDA continuera à se faire le porte-parole des sans-voix, en veillant à ce que les groupes marginalisés et les plus vulnérables face à l’infection à VIH aient accès aux services d’une importance vitale pour leur santé et celle de leur famille et de leur entourage. »
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)