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MALADIES ENVIRONNEMENTALES ET DÉVELOPPEMENT DURABLE
13 août 2008
« Récemment, un garagiste d’une soixantaine d’années, très connu au Port, est mort d’une tumeur au foie d’un genre peu courant. Devant la perplexité des proches, en recherchant les causes du décès, on s’est rendu compte qu’il était, par sa profession, très fréquemment au contact de l’amiante et de divers autres produits toxiques. On trouve encore beaucoup d’amiante dans plusieurs secteurs de l’industrie, à La Réunion ».
Patrick Durrieu, médecin traitant au Port et engagés dans plusieurs actions de bénévolat (Pompiers, Plan ORSEC et dans l’Association Enfants du Monde, dont il est le président), fait ce constat en signalant qu’il concerne aussi bien des garagistes et des techniciens de l’automobile que des dockers ou des ouvriers du bâtiment exposés aux composants des peintures. Et combien d’autres professions dont les employés sont atteints dans leur santé par des risques liés à la présence de produits toxiques ou dangereux ?
En réalité, les sociétés avancées dans leur industrialisation - tout comme celles qui aspirent à le devenir - ont intégré dans quantité d’objets et d’appareils de la vie quotidienne un nombre astronomique de composants chimiques dont beaucoup n’ont toujours pas fait l’objet de tests de toxicité. Ceux-ci ne provoquent pas que des maladies dites professionnelles. Ils peuvent aussi nous concerner dans la vie quotidienne et agresser nos enfants beaucoup plus que ce n’était le cas il y a seulement 25 ans.
L’OMS a établi en 2006 que l’on pouvait considérer comme dû à une « exposition environnementale » près du quart (24%) de l’ensemble des maladies (Voir encadré 1). Son rapport intitulé "Prévenir les maladies par des environnements salubres - Vers une évaluation de la charge des maladies environnementales", estime en outre que plus de 33% des maladies qui touchent des enfants de moins de 5 ans ont pour causes des expositions environnementales et que la prévention des risques liés à l’environnement « pourrait sauver les vies de près de quatre millions d’enfants par an, surtout dans les pays en développement ».
Après les dérives de la directive REACH...
En France, l’AFSSA,- Agence de sécurité sanitaire des aliments -, saisie par la Direction générale de la Santé, doit donner avant la fin de ce mois un avis, et peut-être de nouvelles recommandations sur les « niveaux acceptables de bisphémol A », un composant chimique des biberons en plastiques, ces biberons transparents et réputés incassables. « Le travail de l’Autorité européenne de sécurité des aliments et de l’AFSSA doit notamment permettre de savoir s’il est nécessaire de prendre des précautions d’emploi en cas de chauffage au micro-ondes » a répondu Didier Houssin, directeur général de la Santé à deux journalistes du Monde (article paru le 11 juin dernier). Leur enquête commence par l’annonce d’une intention du Canada d’interdire la commercialisation de ces biberons et par la mention de trois études présentées en mai, dans un congrès européen sur l’obésité, tenu à Genève, selon lesquelles « le contact avec des produits chimiques utilisés dans la fabrication de biberons ou d’emballages alimentaires en plastique augmenterait le risque d’obésité » rapporte le Monde. Le problème des emballages plastiques alimentaires commence à être connu. La suspicion portée sur le bisphémol A vient de ce que ce produit « mime l’effet d’hormones. Il est peu actif sur les cellules du foie mais dangereux pour les cellules neuronales... [qui] exposées au bisphémol A, s’engagent dans des voies pathologiques » poursuivent les journalistes du Monde en citant le biologiste Claude Reiss, ancien directeur de laboratoire au CNRS, membre d’Antigone-Europe.
Au moment de l’adoption de la directive REACH par la Commission européenne (encadré 2), cette organisation s’est battue pour faire adopter un programme de toxicologie scientifique, qui permette de remplacer par une méthode fiable, des évaluations de la toxicité qui, encore maintenant, procèdent beaucoup par des tests sur les animaux. Les chercheurs du CNRS qui ont travaillé à ce programme toxicogénomique d’Antigone-Europe démontrent « qu’aucune espèce animale n’est le modèle biologique de l’homme » et que par conséquent, « une toxicologie basée sur l’expérimentation animale ouvre la porte à des évaluations erronées ».
...Une double vigilance
Ces exemples ne sont que quelques cas parmi les expositions environnementales sur lesquelles de très nombreux scientifiques à travers le monde s’efforcent d’alerter les autorités et les opinions publiques, en raison des “dérives de santé” qui, à leur avis, suivent l’augmentation de la diversité des substances chimiques avec lesquelles nous sommes en contact. Et il ne faudrait surtout pas croire que, dans un monde saturé de pollutions, il pourrait encore se trouver des îlots de non-contamination.
En effet, la nature diffuse - c’est son rôle de “régulatrice” -, répandant partout les tonnes de déchets toxiques que l’humanité émet quotidiennement dans l’atmosphère ou envoie dans l’océan, directement ou par voie fluviale. Le nuage toxique du Krakatoa, pas plus que celui de Tchernobyl, ne connaît les frontières et la quantité de métaux lourds déjà présente dans les océans est telle que, selon le docteur Durrieu, des revues professionnelles destinées aux médecins recommandent désormais à ces derniers de déconseiller aux femmes enceintes et aux très jeunes enfants de consommer de “gros poissons”. « Ceux qui sont en tête de la chaîne alimentaire - type thons et autres - sont bourrés de métaux lourds » rapporte le médecin portois, pour qui « le plus grand défi pour l’avenir va être de se débarrasser des métaux lourds et autres déchets dangereux, dont les déchets radioactifs. Il y a aussi un immense enjeu dans la diffusion de normes de propreté et d’hygiène, contre les risques de maladies infectieuses, et dans un urbanisme “sain”. En Asie, on sait maintenant que si le SRAS (syndrome respiratoire aigu) a été si meurtrier, c’est parce qu’il s’est répandu par diffusion verticale, dans les immeubles d’habitation. En Chine, les risques d’expansion de la grippe aviaire passent par la surdensité de population dans les marchés, où se trouvent beaucoup d’animaux vivants ».
A La Réunion, la notion de “maladies environnementales” n’est pas vraiment intégrée partout, et pourtant il nous faudrait être doublement vigilants, du fait que nous nous trouvons à la convergence de deux modèles sociétaux et de développement dont les risques sont cumulés : nous avons importé la plupart des facteurs de risques des pays surindustrialisés, dans une île qui certes a fait reculer la mortalité infantile (de 164‰ en 1951 à 8‰ aujourd’hui - et 3‰ en France) mais présente encore un risque très étendu de leptospirose, par exemple. « Sur la cinquantaine de cas de leptospirose déclarés chaque année, il y en a bien la moitié qui est d’origine professionnelle...mais on ne le sait pas, faute d’une déclaration administrative a posteriori » relève Alain Igliki, Ingénieur-Conseil en Prévention des risques professionnels à la CGSS, en notant que les chiffres manquent aussi pour les cancers. « Un très grand nombre des cancers de la vessie sont d’origine professionnelle. On sait qu’il y a des liens de cause à effet. En carrosserie automobile, par exemple, les efforts ont porté sur le passage à la peinture à l’eau, grâce à un travail de fond mené avec les organisations professionnelles » poursuit l’ingénieur conseil. Le Secrétaire général de la Fédération Auto-Moto de la CGTR, Jacques Bhugon, note quant à lui « une dégradation des conditions de travail dans les garages » (voir encadré 3).
Au niveau national, plusieurs centaines de millions d’euros sont versées chaque année à l’Assurance Maladie par l’Assurance Accident du Travail, au titre d’une taxe forfaitaire (lourde) appliquée en cas de maladie professionnelle non déclarée.
A La Réunion, l’évocation des maladies environnementales ouvre pour le responsable de la Prévention à la CGSS, deux champs très différents : les maladies liées aux produits pesticides - dont il ne faudrait pas croire qu’ils ne concernent que les agriculteurs, même si ces derniers sont les plus exposés - et les “pathologies” attribuées aux champs magnétiques, qui sont encore l’objet de beaucoup de controverses.
Une prise de conscience élargie
Mais c’est certainement dans les milieux agricoles et dans les jardins - qui à La Réunion touchent beaucoup de monde - qu’il est possible de sensibiliser un très large public aux risques liés à l’usage des produits phytosanitaires toxiques. A la Chambre d’Agriculture, le service Environnement d’Isabelle Checkouri étudie notamment un plan de substitution de boues naturelles aux engrais chimiques. C’est l’un des enjeux de la "chimie verte", dont un chimiste anglais, James Clark, était allé expliquer l’importance lors d’un colloque organisé à l’UNESCO à la suite de l’Appel de Paris.
La définition de la chimie verte proposée depuis 1991 par l’Agence américaine pour la protection de l’environnement (usEPA) plaide pour des procédés ayant pour but « de concevoir des produits et des procédés chimiques permettant de réduire ou d’éliminer l’utilisation et la synthèse de substances dangereuses ».
De nombreux scientifiques - épidémiologistes, chismistes, médecins...- ne cessent d’alerter sur les liens entre cancers et pollutions. Lors de cette même conférence, un spécialiste américain de Santé environnementale, John Perterson Myers, a surtout attiré l’attention sur la dégradation de la santé des enfants. « Cette génération d’enfants est la première génération dans l’histoire moderne à être en moins bonne santé que ses parents. Ce n’est pas acceptable ! » a dit ce scientifique américain. En France aussi, ce qui alerte une organisation comme l’ARTAC (Association pour la Recherche thérapeutique anti-cancéreuse) - également présente au colloque de l’UNESCO - est le nombre croissant de cancers chez les enfants (voir encadré 4).
Cette prise de conscience motive, en France notamment, les mouvements d’agriculteurs producteurs “bio”. Dans le Gard, ils ont obtenu de faire entrer leurs productions biologiques dans les cantines scolaires, ainsi qu’on le voit dans un documentaire de Jean-Paul Jaud (112 mn), « Nos enfants nous accuseront » montrant la mobilisation de villages entiers du Sud de la France pour l’entretien, par les enfants eux-mêmes, de jardins potagers biologiques et pour la généralisation des produits bio dans la restauration collective. Leur mobilisation est directement liée à la prise de conscience de ce que « l’Enfance est aujourd’hui en danger » comme le disait aussi le président de l’ARTAC, le Dr. Dominique Belpomme, lors de la rencontre de Paris, qui intervenait - faut-il le rappeler - 30 ans après Seveso (Italie, 1976). Après trente ans de pratiques industrielles et agro-industrielles hautement toxiques...
Nous n’en sommes peut-être pas là à La Réunion. Mais il n’est pas nécessaire de les avoir rejoints pour prendre conscience des risques et accentuer partout les bonnes pratiques agricoles et industrielles. Si nous ne voulons pas, nous aussi, que demain « nos enfants nous accusent ».
P. David
Les maladies environnementales selon l’OMS
Le rapport de l’OMS paru en 2006 estime que plus de 13 millions de décès sont dus annuellement à des causes environnementales évitables. Près du tiers des décès et des maladies qui surviennent dans les régions les moins développées sont provoquées par l’environnement. Plus de 40% des décès des suites du paludisme et environ 94% des décès provoqués par des maladies diarrhéiques, deux des principaux tueurs d’enfants au niveau mondial, pourraient être évités par une meilleure gestion de l’environnement.
Les quatre principales maladies influencées par un environnement de mauvaise qualité sont la diarrhée, les infections des voies respiratoires inférieures, différentes formes de lésions involontaires et le paludisme.
Cette recherche (...) identifie des maladies spécifiques qui sont influencées par des risques environnementaux bien connus et précise dans quelle mesure elles le sont. Elle rassemble les meilleures données disponibles actuellement sur les liens entre l’environnement et la santé en ce qui concerne 85 catégories de maladies et de lésions : la diarrhée, les affections des voies respiratoires inférieures, les lésions accidentelles (autres que les blessures à la suite d’accidents de la route) - classification qui inclut toute une série d’accidents du travail et industriels, le paludisme, les traumatismes provoqués par des accidents de la route, la maladie pulmonaire obstructive chronique et les affections périnatales.
La plupart de ces maladies déclenchées par l’environnement se classent aussi parmi celles qui tuent le plus, même si c’est dans un ordre de mortalité légèrement différent.
Les maladies qui font dans l’absolu le plus grand nombre de morts par an en raison de facteurs environnementaux modifiables sont énumérées ci-après.
Tous ces facteurs sont susceptibles d’être modifiés à l’aide de techniques, de politiques, de mesures préventives et de santé publique disponibles). Parmi les victimes de ces maladies, on compte notamment :
• 2,6 millions de décès annuels par maladies cardiovasculaires
• 1,7 million de décès annuels par maladies diarrhéiques
• 1,5 million de décès annuels par infections des voies respiratoires inférieures
• 1,4 million de décès annuels par cancers
• 1,3 million de décès annuels par maladie pulmonaire obstructive chronique
• 470.000 décès annuels des suites d’accidents de la route
• 400.000 décès annuels des suites de lésions accidentelles
En agissant de manière résolue et en définissant les mesures prioritaires à prendre pour faire reculer les plus redoutables tueurs, il est possible d’éviter chaque année des millions de morts inutiles. Une collaboration avec des secteurs tels que ceux de l’énergie, des transports, de l’agriculture et de l’industrie est cruciale pour améliorer les causses environnementale profondes de la mauvaise santé.
Source : OMS
“REACH” : La déroute d’une “bonne idée”
Une initiative de la Commission européenne, lancée en 2001, proposait d’évaluer la toxicité des substances chimiques présentes dans notre alimentation, dans l’air que nous respirons, dans la composition de nos intérieurs (foyers et lieux de travail). Des enquêtes menées par des organisations comme Greenpeace ou WWF ont démontré que ces substances - une quarantaine, selon des tests faits sur des volontaires européens - se trouvent aussi dans notre sang.
Un livre blanc a donné lieu au projet REACH - Enregistrement (Registration, en anglais), Evaluation et Autorisation de substances chimiques. La future législation européenne en la matière devait concerner 100.000 produits mis sur le marché avant 1981 sans avoir fait l’objet des évaluations obligatoires depuis cette date. Mais le projet a été très limité dans son application, appliqué seulement aux 30.000 produits commercialisés en quantités supérieures à une tonne par an, alors que la réglementation mise en place en 1981 exige des évaluations pour les produits commercialisés en quantités supérieures à 10 Kg. Finalement, seuls 12.000 produits seraient testés...
Source Antidote-Europe
Jacques Bhugon, Fédération Auto-Moto (CGTR) :
« Il n’y a pas une prise de conscience des employeurs »
En tant que Secrétaire général de la Fédération Auto-Moto de la CGTR, Jacques Bhugon travaille en permanence avec les comités d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) des entreprises, et plus occasionnellement avec le Service de Prévention de la CGSS, les médecins et les inspecteurs du Travail. « Malgré nos interventions auprès des directions d’entreprises, je ne vois pas de véritable prise de conscience des employeurs.
Nous organisons des stages CHSCT dans les entreprises, avec des interventions de la CGSS et des médecins du Travail. Mais après, concrètement, les patrons disent qu’ils n’ont pas d’argent. Le résultat est ce qu’on peut lire dans les chiffres de la CGSS sur les accidents du travail : la branche automobile est en 3e position, après la menuiserie et les industries de l’agroalimentaire. Et on ne peut pas jeter la pierre aux inspecteurs du travail. Ils sont trois, dans l’île, pour près de 400.000 salariés » déclare le responsable syndical. Ce dernier constate « une dégradation des conditions de travail dans les garages » parce que les patrons n’investissent pas dans l’humain. Et pourtant, ils pourraient trouver des aides pour le faire, insiste le syndicaliste, en évoquant le rôle de la Commission Technique Régionale, une commission paritaire de la CGSS dont le rôle est de prévoir les risques. « D’autres sources de financement sont aussi possibles, en plus du leur. Car il faut surtout qu’ils décident de participer » ajoute-t-il.
La Fédération CGTR Auto-Moto agit également sur les questions de Santé au travail avec la Fédération nationale des Métaux de la CGT.
Les cancers en Europe...
Chaque année en Europe 100.000 enfants meurent de maladies causées par l’environnement.
70% des cancers sont liés à l’environnement dont 30% à la pollution et 40% à l’alimentation.
Chaque année en France, on constate une augmentation de 1,1% des cancers chez les enfants.
En France, l’incidence du cancer a augmenté de 93% en 25 ans chez l’homme.
... et à La Réunion
Dans les données de l’INSERM portant sur les causes des décès à La Réunion, réunies par le Centre d’épidémiologie sur les causes médicales des décès, on trouve pour l’année 2005 (la dernière année de référence disponible) une analyse détaillée des 4.294 décès, organisés selon la liste actualisée des codes CIM (classification internationale des maladies).
Les tumeurs y représentent, toutes confondues, 22,7% des causes de décès, les maladies cérébrovasculaires et les maladies de l’appareil circulatoire 15,4%, les cardiopathies (coronariennes et autres) 14,6%, les maladies respiratoires et l’asthme 5%, les maladies du système nerveux et des organes des sens 3,6%...
La Céci-Base :
Un espace numérique accessible aux déficients visuels
Le Conseil Général de La Réunion met en place dans le sud de l’île un dispositif d’accès aux technologies de l’information et de la communication dédié aux personnes aveugles et malvoyantes. La Céci-Base permet à ce public de surfer sur l’Internet, de lire en braille audio ou gros caractères et de découvrir des outils informatiques adaptés. De la simple loupe à l’ordinateur vocal, pour vous divertir ou vous instruire, la Céci-Base vous aide à communiquer et à mieux vous informer. Notre équipe de professionnels est à votre service dans nos locaux. Vous êtes une association d’utilisateurs, une médiathèque, un CCAS, une école, la Céci-Base peut se déplacer dans l’ensemble de la région Sud.
Heures d’ouverture : De préférence sur rendez-vous
Du lundi au vendredi de 9h00 à 12h00 et de 13h00 à 15h45
Entrée rue Bory St Vincent en descendant du Boulevard Bank. A côté des ASSEDIC et de la R.A.M Gamex.
Ligne de bus : N° 3 Arrêt : Hyper Crack
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