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Journée mondiale de lutte contre le paludisme 2012
26 avril 2012
Hier, c’était la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. Il y a encore quelques décennies, cette maladie était une des principales causes de décès dans notre pays. Si le paludisme a été éradiqué dans notre île, il continue à tuer ailleurs. Lundi, à la veille de la Journée mondiale, l’Organisation mondiale de la santé faisait le point sur les dernières avancées.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) se félicite des progrès accomplis dans la lutte contre la maladie, mais souligne qu’il faut redoubler d’efforts. La nouvelle initiative de l’OMS, Tester, traiter, suivre (TTS), appelle les pays d’endémie et les donateurs à s’acheminer vers l’accès universel aux tests de diagnostic et au traitement antipaludique et à créer des systèmes solides de surveillance de la maladie.
« Au cours des dix dernières années, l’augmentation des investissements pour prévenir et combattre le paludisme a permis de sauver plus d’un million de vies », dit le Directeur général de l’OMS, le Dr Margaret Chan. « C’est un immense succès, mais nous sommes encore loin de l’accès universel aux interventions qui permettent de sauver les personnes atteintes de paludisme », a-t-elle ajouté.
La forte accélération de la distribution de moustiquaires dans le monde, l’extension des programmes de pulvérisation d’insecticides à l’intérieur des bâtiments et l’accès accru à un traitement rapide du paludisme ont réduit les taux de mortalité attribuables à cette maladie de plus d’un quart au niveau mondial et d’un tiers en Afrique depuis 2000. Mais le maintien du rythme de progression actuel ne suffira pas à atteindre les cibles mondiales en matière de lutte contre le paludisme.
L’OMS appelle donc la communauté sanitaire mondiale à investir encore davantage dans les tests de diagnostic, les traitements et la surveillance du paludisme pour sauver plus de vies et faire un grand pas vers la réalisation, en 2015, des Objectifs du Millénaire pour le Développement liés à la santé.
Les pays d’endémie devraient être en mesure de garantir que chaque cas suspect de paludisme fait l’objet d’un test, que chaque cas confirmé fait l’objet d’un traitement médicamenteux de qualité et qu’un suivi de la maladie est assuré par des systèmes permettant une surveillance précise en temps voulu.
L’OMS a élaboré des orientations techniques pour les trois volets de l’initiative TTS (tester, traiter suivre) : elle a déjà publié des “Directives pour le traitement du paludisme” et elle publie aujourd’hui les deux derniers documents de cette série : “Disease Surveillance for Malaria Control” et “Disease Surveillance for Malaria Elimination”.
« Tant que les pays ne seront pas en mesure de dépister, de traiter et de notifier chaque cas de paludisme, nous ne viendrons pas à bout de cette maladie », a dit le Dr Margaret Chan, en visite en Namibie à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. « Tous les pays d’endémie palustre et la communauté sanitaire mondiale doivent prendre un engagement politique ferme et durable pour mener cette lutte jusqu’à son terme », a-t-elle ajouté.
« L’initiative Tester, traiter, suivre (TTS) vise à encourager les pays d’endémie et leurs partenaires à s’appuyer sur les succès remportés dans la prévention du paludisme au cours de la dernière décennie », dit le Dr Robert Newman, Directeur du Programme de lutte antipaludique de l’OMS. « Ces dernières années, on a beaucoup progressé dans la mise au point de nouveaux outils de diagnostic et de médicaments antipaludiques très efficaces. Le plus difficile est maintenant de faire en sorte que ces outils soient utilisés et que les pays mesurent exactement leur impact sur la santé publique », a-t-il ajouté.
Progrès dans la lutte contre le paludisme de 2000 à 2010 |
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