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Centre médico-psychologique de Saint-Pierre
10 juin 2005
Voici un communiqué du Centre médico-psychologique de Saint-Pierre sous la signature de son secrétaire général, Alix Hoarau, dénonçant le comportement méprisant de la Direction envers le personnel et leur travail.
(page 8)
"Nous venons dénoncer la légèreté et même le mépris avec lequel la Direction du GHSR traite une activité hospitalière de soins et interpeller l’ensemble de la tutelle des hôpitaux (ARH, DRASS, Préfecture) pour qu’un rappel aux bonnes pratiques soit effectué et que la seule solution aujourd’hui acceptable soit appliquée.
Comme vous le savez, le GHSR assure une activité de soins psychiatriques depuis 1978 et a, aujourd’hui, la charge de deux secteurs psychiatriques adultes et un de pédopsychiatrie.
En 1987, compte tenu de l’évolution de la prise en charge des patients relevant de ces secteurs, une activité extra-muros a été développée par la création de centres médico-psychologiques adultes, enfants et adolescents à Saint-Joseph, à Saint-Pierre, au Tampon, à Saint-Louis, à la Rivière Saint-Louis, à Cilaos et à Saint-Leu, ainsi que des unités intersectorielles de réinsertion psychosociale et de psychiatrie de liaison.
Pour ce faire, dans la plupart des situations, des locaux privés ont été loués pour lesquels des visites du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ont été effectuées et les instances hospitalières ont eu à se prononcer.
Pour l’activité spécifique du Centre médico-psychologique de Saint-Pierre, un local a été loué dans la rue Marius et Ary Leblond où se déroule depuis maintenant plus de dix ans la prise en charge de nombreux patients relevant de ce secteur.
Le 2 juin dernier, la Direction du GHSR a officiellement informé l’équipe soignante du CMP de Saint-Pierre qu’il leur fallait déménager pour un autre local situé dans cette même rue, ceci à compter du 1er juillet.
L’équipe soignante a pu, le jour même, effectuer une visite des lieux et a pu aussitôt exprimer l’impossibilité de réaliser dans ce local les activités (activités en ateliers et hôpital de jour) dispensées aux patients, en listant de nombreux points d’inquiétude et de non faisabilité pour une prise en charge quotidienne de plus de 30 patients.
Une première réponse a été faite où il serait question de diminuer l’activité en n’assurant plus la prise en charge de certains patients et en faisant procéder à l’hospitalisation complète de certains autres.
Interpellés, nous entendons au syndicat Force ouvrière du GHSR dénoncer cette situation qui s’apparente à notre sens à un mépris envers une activité de soins hospitalière.
Aucun dossier de transfert de cette activité dans un autre local n’a jamais été présenté aux représentants du personnel et de ce fait, aucune instance n’a été consultée et aucune visite réglementaire des lieux n’a été effectuée.
Renseignements pris, il apparaît en premier lieu que les locaux actuellement utilisés arriveraient en fin de bail et que le propriétaire aurait déjà manifesté son souhait de récupérer les lieux, et qu’en second lieu, il s’agirait d’une implantation provisoire.
Le GHSR a-t-il ignoré ce fait ? ou pensé régler facilement cette situation ?
Toujours est-il que cette activité se trouve aujourd’hui menacée.
La tutelle hospitalière doit, à notre sens, intervenir. Les patients du GHSR n’ont pas à souffrir de cette, pour le moins, légèreté dans la gestion d’un service hospitalier.
La solution réside dans une reconduction du bail pour une durée permettant l’acquisition d’un nouveau local remplissant toutes les conditions nécessaires à une bonne prise en charge de ces patients.
Faute de quoi, nous serons amenés à engager d’autres actions."
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