Coronavirus
Vaccin à ARN messager : une étude tire la sonnette d’alarme
28 mai 2022, par
Une étude, extrêmement sérieuse et documentée, sans conflits d’intérêts des auteurs, publiée le 15 avril 2022 dans ScienceDirect est alarmante.
Selon ses résultats à paraître dans le Journal officiel de la Société chinoise de toxicologie (FCT), une revue de toxicologie de renommée internationale, les « vaccins » à ARNm du SARS-CoV-2 provoqueraient :
- La création d’un ARNm modifié aux effets complexes mais surtout imprévisibles
- La fabrication soutenue de protéines Spike ;
- Une altération de l’immunité innée ;
- Une altération des mécanismes de réparation de l’ADN (protéine Spike neurotoxique) ;
- Potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancers.
Autrement dit, en cherchant à altérer l’ARN messager pour en faire un vaccin contre la Covid-19, les scientifiques auraient potentiellement créé un outil déréglant le fonctionnement de nos cellules. L’impact sur la santé doit être évalué par d’autres organismes de recherche mais il est inquiétant.
Les vaccins de Pfizer et Moderna consistent à forcer nos cellules à produire, à partir d’ARN messager, un morceau du virus Sars-Cov2 (la protéine Spike).
Celle-ci ne doit pas nous rendre malade ; elle est destinée à entraîner notre organisme à se défendre. Ainsi commandées de l’intérieur, les cellules produisent massivement des protéines Spike. Le problème est que cela peut perturber au passage la synthèse d’autres protéines, nécessaires à notre organisme. En effet, les auteurs de l’étude notent un potentiel lien de causalité des vaccins ARNm avec l’apparition de nombreuses maladies.
Car, comme ces altérations sont intégrées directement au vaccin, censé aider le système immunitaire, celles-ci passent sous le radar de ce dernier et ne sont donc pas éliminées. Un vrai cheval de Troie !
« Bombe à retardement au cœur même de nos cellules »
Les auteurs évoquent des maladies neurodégénératives, des troubles du foie, des cancers, des myocardites, des paralysies de Bell (paralysie faciale) ou encore de thrombocytopénie immunitaire (destruction des plaquettes dans le sang, qui ne coagule plus). Pire, les auteurs concluent que « des milliards de vies sont potentiellement en danger, étant donné le grand nombre de personnes auxquelles on a injecté les vaccins à ARNm ». Ils appellent « les institutions de santé publique à démontrer, avec des preuves, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou à reconnaître qu’elles le sont et à agir en conséquence ».
Imaginez un instant les conséquences si les mises en garde accablantes de cette étude s’avèrent fondées ? Plutôt qu’un remède, nous serions-nous fait injecter, et à plusieurs reprises, une bombe à retardement au cœur même de nos cellules ? Comme toujours depuis le début de la pandémie, le flou est le plus total.
D’un côté il y a les alarmistes, comme les auteurs de cette étude, qui prétendent que l’inoculation de ces vaccins constitue potentiellement une catastrophe sanitaire. D’un autre côté, il y a les autorités politiques, et, force est de le constater, la totalité des autorités sanitaires qui disent exactement le contraire. Allant même jusqu’à nier les nombreux effets secondaires pourtant avérés.
« L’impact sur des milliards de personnes dans le monde pourrait être énorme »
Cette étude, très complète, reflète l’ensemble des effets secondaires des vaccins à ARNm, contrairement aux précédentes publications, qui n’abordaient que l’un ou l’autre des effets en question… Elle se base sur des sources sérieuses, notamment les chiffres de la VAERS, un organe américain chargé de recenser les effets secondaires des vaccins.
Voici un morceau choisi de la conclusion. La référence se trouve ci-après dans Science-direct. Selon les auteurs (sic) :
« Dans cet article, nous attirons l’attention sur trois aspects très importants du profil d’innocuité de ces vaccins. Le premier est la subversion largement documentée de l’immunité innée, principalement via la suppression de l’IFN-α et sa cascade de signalisation associée. Cette suppression aura un large éventail de conséquences, parmi lesquelles la réactivation d’infections virales latentes et la capacité réduite à lutter efficacement contre de futures infections. Deuxièmement, il y a le dérèglement du système à la fois pour prévenir et détecter la transformation maligne d’origine génétique dans les cellules et le potentiel qui en résulte pour la vaccination de favoriser ces transformations. Troisièmement, la vaccination par ARNm perturbe potentiellement la communication intracellulaire en induisant les cellules à absorber la glycoprotéine de pointe (protéine Spike) pour produire des niveaux élevés d’exosomes porteurs de cette protéine, avec des conséquences inflammatoires potentiellement graves. Si l’un de ces potentiels était pleinement réalisé, l’impact sur des milliards de personnes dans le monde pourrait être énorme et pourrait contribuer à la charge de morbidité à court et à long terme à laquelle notre système de santé est confronté. »
Curieux de connaître les explications de nos autorités sanitaires pour justifier la pérennité des doses qu’ils nous promettent, d’autant que l’efficacité des vaccins s’amoindrit avec le temps.
Bruno Bourgeon
Référence : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X#bib92
Messages
30 mai 2022, 14:48, par pioupiou
Conclusion : "On s’est fait entuber quoi".
31 mai 2022, 08:34, par pierre
Pourquoi cette étude n’est pas mise en une de l’actualité ?
31 mai 2022, 14:57, par Jacqueline
Pourquoi on n’arrête pas tout ça ?
Mettre un vaccin plus fiable au lieu de nous prendre pour des cobayes !
L’argent toujours l’argent ils ne vont pas l’emmener dans le caveau 😡
31 mai 2022, 21:37, par Christine
Il y a longtemps qu’on le sait. Les premiers brevets d’invention sur le gain de fonction pratiqué sur le virus SARS-CoV-2 (oui, le 2 !) datent de 2006 et Ralph Baric se vante d’avoir trafiqué la protéine spike (celle qui est utilisée pour fabriquer le "vaccin") de manière qu’aucun vaccin ni traitement ne fonctionnera contre le virus.
Il serait temps qu’on informe le public de ces documents. Par exemple le brevet WO2015143335A.
1er juin 2022, 19:28, par Robert
Merci pour cet article.
Si seulement les médias arrêtaient déjà d’appeler cette injection un "vaccin", nous ferions un grand pas puisque l’on sait depuis l’été dernier que ce produit n’apporte aucune immunité. Ce n’est donc pas un "vaccin".
Pire, maintenant, je lis de plus en plus d’étude sur les effets secondaires. Très inquiétant. Il faut arrêter cela.
6 juin 2022, 18:20, par Philippe Martin-Chartrie
Je suis un anti injection depuis le scénario magnigancé dés 2020, !! Et après de très nombreuses informations y compris des opposants et grand professeurs qui se sont opposés à cette folie !! Est ce que selon les dires de bill gâté qui disait !! : si ils font 15% de dc de la population mondiale !! par ces injections ..le problème de la demographie serait réglé !!?
14 juin 2022, 16:21, par Herve
Ces produits ne sont pas des vaccins ! Ils n’apportent aucune immunité, pour preuve de nombreux injectés attrapent ke covid et font même des formes graves.
Pourquoi forcer les populations à se faire injecter un produit nouveau, qui implique de nombreux effets secondaires graves et mortels. Les morts seront plus nombreux des piqûres que du covid. Paroles de scientifiques !
Ne censurez pas mon commentaire. La vie de pauvres gens mal informés en dépend !
5 octobre 2022, 20:03, par DIDIER Françoise
En octobre 2020, j’ai été cas contact de Maman (qui était alors en EHPAD) PCR positif sans symptome à 99 ans sau une température à 39.7 pendant 2 jours. Moi même PCR positif, je n’ai eu aucun symptôme sauf une fois 40.1° de fièvre puis 39.7 le lendemain. PCR négatif au bout d’1 semaine.
Je précise que j’ai refusé l’injection de leur produit expérimental appelé "vaccin", que je n’ai reçu aucune dose d’aucun d’eux malgré ma pathologie : BPCO assez sévère et mon âge : 74 ans.
Début juin 2021, j’ai demandé à mon médecin de tester mes anticorps spécifiques covid-19. J’en avais toujours 2.6 fois plus que le minimum indiqué pour être protégée... En octobre 2021, après une forte bronchite en août et malgré un PCR négatif, j’ai refait une sérologie qui a montré cette fois un taux d’anticorps 4.3 fois plus élevé que le minimum requis (160 BAU/ml). En juin 2022, nouvelle sérologie (à mes frais juste pour savoir) montre que ces anticorps sont passés de 160 à 56.8 BAU/ml pour un minimum requis de 37.2.
En août dernier, nouvelle bronchite carabinée cette fois avec 40 de fièvre pendant 1 semaine et difficile à soigner.
Devant faire un bilan pneumologique jeudi 6 octobre, j’ai voulu refaire une sérologie (toujours à mes frais) et quelle ne fut pas ma surprise de constater un taux d’anticorps à 4240 BAU/ml.... J’ai très certainement fait un nouveau covid en même temps que ma bronchite mais j’ai ici la preuve que mes défenses immunitaires innées fonctionnent donc très bien et que mes cellules mémoires sont parfaitement capables de me protéger beaucoup mieux que leur soi disant "vaccin".
Pourtant tous les "médecins" de plateaux rabâchent que les anticorps disparaissent très vite...
Je reste et resterai droite dans mes bottes : jamais ils ne m’obligeront à me faire injecter un vaccin à ARNm car je n’ai pas envie que ma protéine transcriptase inverse me transforme en OGM !
17 octobre 2022, 23:51, par CHERQUI Luce
Bjr, Probablement suite au vaccin j’ai développé une PPR Et suis toujours sous cortisone Existe t’il. Un remède qui pourrai neutraliser ces effets néfastes ?
Auparavant j’étais en pleine forme avec de bonnes analyses sanguines, bon cholestérol, bonne tension, juste un peu d’arthrose sans en souffrir
Merci d’avance pout votre aide
16 février 2023, 04:57, par sacha
Ces chercheurs n’etaient pas independants, puisque sur les 4, une seule est independante (MIT), l’un est affilie a immersion health, une compagnie privee de traitements naturels (immersion health, premier conflit d’interet non declare), l’autre est affilie a Truth for Health, une fondation ouvertement antivax (deuxieme conflit d’interet non declare), et le denier auteur declare une affiliation a une compagnie privee en grece (troisieme conflit d’interet). Ce sont donc des auteurs non independants qui ont caches d’important conflits d’interet, ce qui est juste un mensonge de plus. Le journal n’en est pas un dans le domaine biomedical, mais agroalimentaire (food toxicology), et ils ont etait finances (selon leurs declarations) par Quanta computers, une compagnie taiwanaise avec aucun lien avec le biomedical. Bref, il y a beaucoup de drapeaux rouges qui laissent supposer que des gens avec des opinions antivax ont habilement reussi a faire publier un article frauduleux.
Les scientifiques qui ont pris le temps de lire et de vérifier les références ont réalisé que cette étude soit disant à charge contre les vaccins a inventé des chiffres et des conclusions complètement opposées aux références citées . On parle de fraude scientifique et de demande retrait de cet article.
Voilà le lien de la réponse si ça vous intéresse. https://osf.io/m58yh/
30 juillet 2023, 01:03, par arnaud
Dans le Tableau 1, nous présentons une liste non exhaustive des principales incompréhensions de la littérature citées dans cette Lettre. Les auteurs s’appuient sur d’hypothétiques perturbations physiologiques induites par la vaccination contre le Covid-19. Par exemple, ils suggèrent un possible risque accru de survenue de divers cancers qui n’a pas été publié à ce jour (Corti et al., 2022) ; en revanche, la vaccination reste fortement recommandée pour les patients atteints de cancer (Barrière et al., 2022). Aucune relation causale ne peut être établie entre les mécanismes biologiques décrits par les auteurs et les effets allégués des vaccins à ARNm. Certaines allégations provenaient d’interprétations erronées de la base de données des événements indésirables des vaccins (VAERS). L’utilisation abusive de cette base de données a été largement décrite (Calac et al., 2022 ; les militants anti-vaccins utilisent un gouvernement, 2023). De plus, l’analyse proposée par les auteurs ne prend en compte que les valeurs relatives des occurrences d’effets indésirables descriptifs pour les vaccins SARS-COV-2 ou non-SARS-COV-2 sans prendre en compte ni le nombre d’injections pour chaque vaccin ou les différences dans l’exactitude de la pharmacovigilance. Ainsi, aucune conclusion ne peut être tirée de cette analyse. A ce jour, aucune analyse des données de la base VAERS soutenant l’hypothèse d’une augmentation significative de la mortalité secondaire à la vaccination n’est disponible (Singh et al., 2022a). La vaccination anti-SARS-CoV-2 a toujours un rapport bénéfice/risque très favorable, a sauvé et sauvera des vies (Arbel et al., 2022 ; Watson et al., 2022 ; Haas et al., 2021).