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La Commission européenne commande 2,6 milliards doses de vaccins en sachant que l’innocuité et l’efficacité ne sont pas encore prouvées
24 février 2021, par
Un communiqué de la Commission européenne rappelle que tous les « vaccins » contre la COVID-19 vendus par l’industrie pharmaceutique occidentale n’ont pas encore prouvé leur efficacité et leur innocuité. Cela n’a pas empêché que des fonds publics considérables soient dépensés pour commander à cette industrie 2,6 milliards de doses. Si de nouvelles épidémies démontrent l’inefficacité de ces « vaccins », alors cet argent public n’aura été qu’une énième subvention à des entreprises privées afin d’augmenter les profits de leurs actionnaires. L’industrie pharmaceutique occidentale peut dire merci à l’UE. Ceci est d’autant plus grave que le vaccin mis au point par la Chine est structurellement plus efficace contre les variants. Pourquoi les Réunionnais n’ont-ils pas droit à un vaccin moins cher et plus efficace ?
Le 17 février dernier, la Commission européenne a annoncé une commande supplémentaire de 300 millions de doses supplémentaires de vaccins auprès de la société Moderna. Au total, ce sont 2,6 milliards de doses qui sont donc payées par des fonds publics à l’industrie pharmaceutique occidentale, sachant que les vaccins mis au point ont une efficacité qui reste à prouver face aux inévitables mutants du coronavirus, et qui doivent encore démontrer que leur injection est sans danger.
Voici un extrait du communiqué publié à cette occasion par la Commission européenne :
« Le contrat conclu aujourd’hui avec Moderna vient grossir le vaste portefeuille de vaccins à produire en Europe, comprenant les contrats déjà signés avec BioNTech/Pfizer, AstraZeneca, Sanofi-GSK, Janssen Pharmaceutica NV, Curevac et Moderna. Ce portefeuille diversifié de vaccins permettra à l’Europe d’avoir accès à 2,6 milliards de doses, une fois que l’innocuité et l’efficacité des vaccins auront été prouvées.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est exprimée à ce propos : « Aujourd’hui, nous nous procurons 300 millions de doses supplémentaires du vaccin contre la COVID-19 produit par Moderna, qui est déjà utilisé pour la vaccination dans l’Union européenne. Cela nous rapproche de notre objectif principal, qui est de veiller à ce que tous les Européens aient accès le plus rapidement possible à des vaccins sûrs et efficaces. Avec un portefeuille allant jusqu’à 2,6 milliards de doses, nous serons en mesure de fournir des vaccins non seulement à nos citoyens, mais aussi à nos voisins et à nos partenaires. »
Le vaccin de Moderna s’appuie sur la technique de l’ARN messager (ARNm). Celui-ci joue un rôle fondamental en biologie, puisqu’il transfère les instructions de l’ADN vers le dispositif de synthèse des protéines situé à l’intérieur des cellules. Dans un vaccin qui utilise l’ARNm, ces instructions produisent des fragments inoffensifs du virus, que le corps humain utilise pour générer une réponse immunitaire, de manière à prévenir ou à combattre la maladie. »
Le choix d’explorer une nouvelle voie, à savoir l’utilisation de l’ARN messager pour le traitement, est une innovation. Cela a pour conséquence la production de médicaments coûteux, ce qui n’est pas sans rappeler les premiers traitements contre le VIH-SIDA. Pendant ce temps, la Chine et d’autres pays ont choisi une voie largement éprouvée : l’injection d’un virus entier rendu inoffensif afin que le système immunitaire puisse acquérir les outils nécessaires pour repousser le coronavirus. Cette voie permet plus sûrement de garantir une adaptation du système immunitaire face aux « variants », mais elle a pour inconvénient sur le plan financier de dégager moins de profit. Car ici, pas question de recours à de coûteux traitements expérimentaux, et d’investir dans des congélateurs capables de maintenir la température d’un médicament à moins 80 degrés.
Pourtant, le vaccin imposé à La Réunion et dans les autres régions sous souveraineté d’un État membre de l’UE n’injecte qu’un fragment de virus. S’il s’avère que les « variants » utilisaient la partie du virus qui n’est pas injectée pour contaminer l’organisme, à quoi servirait-il alors d’avoir payé à prix d’or des médicaments qui ne serviraient plus à rien ?
Si tel était le cas, alors les fonds publics utilisés pour commander ces « médicaments » n’auraient été qu’une énième subvention à des entreprises privées afin d’augmenter les profits de leurs actionnaires.
M.M.
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