
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Risque d’inflammation du muscle cardiaque avec les vaccins à ARN messager
10 juillet 2021, par
Les vaccins utilisés dans l’Union européenne, et donc à La Réunion, n’ont pas encore reçu une autorisation définitive de mise sur le marché car ils sont encore expérimentaux. Cette phase permet donc de tester les effets indésirables de nouveaux médicaments avant d’obtenir une autorisation définitive de mise sur le marché. Les fonds publics débloqués pour financer la recherche contre la COVID-19 permettent à l’industrie pharmaceutique occidentale de tester des vaccins utilisant l’ARN messager. Parmi les effets secondaires recensés figurent des cas de myocardite chez des personnes âgées de moins de 30 ans. Pour l’OMS, ce risque ainsi que les autres sont inférieurs aux avantages procurés par la vaccination.
Après avoir reçu des rapports de cas d’inflammation cardiaque dus à des myocardites et à des péricardites après la vaccination avec des vaccins COVID-19 Pfizer et Moderna, les experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont déclaré vendredi que les avantages des vaccins l’emportent toujours sur les risques de réduire les hospitalisations et les décès dus à infection.
Selon les données du Vaccine Adverse Events Reporting System, environ 40,6 cas de myocardite par million de secondes doses chez les hommes et 4,2 cas par million chez les femmes ont été signalés au 11 juin 2021 chez les 12-29 ans qui ont reçu les vaccins à ARN messager COVID-19.
Pour les personnes de plus de 30 ans, les taux de déclaration étaient de 2,4 et 1,0 par million de secondes doses, respectivement, pour les hommes et les femmes.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque et la péricardite une inflammation de la muqueuse qui entoure le cœur. Bien qu’une maladie grave puisse en résulter, les cas sont souvent bénins et répondent bien au « traitement conservateur », a déclaré le sous-comité COVID-19 du Comité consultatif mondial de l’OMS sur la sécurité des vaccins dans un communiqué.
Association causale
« Ces cas sont survenus plus souvent chez les hommes plus jeunes et après la deuxième dose du vaccin, généralement quelques jours après la vaccination. Les preuves actuelles suggèrent une association causale probable entre la myocardite et les vaccins à ARN messager », a écrit le comité de l’OMS, notant que récemment le comité d’évaluation des risques de pharmacovigilance de l’Agence européenne des médicaments avait confirmé la relation causale plausible.
Selon les experts, des études plus rigoureuses utilisant des sources de données alternatives et des conceptions d’études plus robustes sont en cours, et ils continueront à examiner la situation à mesure que davantage de données seront disponibles.
Selon les experts de l’OMS, les personnes vaccinées doivent être invitées à consulter immédiatement un médecin si elles développent des symptômes indiquant une myocardite ou une péricardite, tels qu’une douleur thoracique d’apparition récente ou une douleur persistante, un essoufflement ou des palpitations après la vaccination.
Les cliniciens doivent également être conscients du risque de myocardite et de péricardite avec les vaccins à ARN messager et ceux les plus susceptibles d’être affectés.
Ils doivent être attentifs à toute douleur thoracique aiguë, essoufflement et palpitations pouvant évoquer une myocardite après la vaccination, en particulier chez les adolescents ou les jeunes hommes. Les événements coronariens sont moins susceptibles d’être à l’origine de tels symptômes chez les jeunes.
« Dans la mesure du possible, les cas suspects doivent être évalués, conseillés et suivis d’une consultation de cardiologue », ont-ils noté, ajoutant qu’il est également important d’exclure d’autres causes potentielles de l’affection, notamment l’infection au COVID-19 et d’autres causes dues à infection virale.
Tout en reconnaissant les avantages évidents des vaccins à ARN messager dans la réduction des décès et des hospitalisations dus aux infections au COVID-19, le sous-comité a encouragé tous les professionnels de la santé à signaler tous les événements de myocardite et autres événements indésirables observés avec ces vaccins et d’autres.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)