
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Elections européennes
3 mars 2014, par
L’Allemand, francophone, Martin Schulz a été élu candidat à la présidence de la Commission européenne, samedi 1er mars à Rome. L’ensemble des socialistes européens a lancé la campagne des élections européennes de mai pour que « l’Europe change de cap ».
Actuellement président du Parlement européen, Martin Schulz a été élu à 368 voix pour sur 404 (2 contre et 34 abstentions), lors du 10e Congrès du Parti socialiste européen (PSE) auquel participaient quelque 800 délégués, dont tous les chefs de gouvernement socialistes de l’Union européenne.
L’an dernier, le président du Parlement avait critiqué la politique d’austérité les gouvernements des pays de l’UE, indiquant que ces dernier « beaucoup trop loin » dans la politique d’austérité. Ce dernier avait d’ailleurs ajouté que « le niveau national, nous sommes engagés beaucoup trop loin dans la politique d’austérité. L’argument qui consiste à dire qu’avec la réduction des budgets publics, la confiance des investisseurs revient, est manifestement faux », lors d’un débat en Avril 2013.
Réunis à Rome, des semaines après l’annonce du Pape François appelant les gouvernements à réduire la pauvreté, Martin Schulz a pour objectif cette année de « réduire le fossé entre les riches et les pauvres, entre les grands pays et les petits pays ». « Ma première priorité comme président de la Commission sera l’emploi », a déclaré Martin Schulz après le scrutin, élisant président du Parlement. Devant les délégués présents, il a annoncé : « Nous avons perdu l’optimisme sur notre avenir. Il est temps d’agir, de combattre pour une Europe sociale et démocratique ».
Jugé « avenant et chaleureux, mais aussi autoritaire, voire parfois brutal », Martin Schulz est un autodidacte de 58 ans, fonceur, qui, « contrairement au président sortant José Manuel Barroso, répugne à la langue de bois », a indiqué l’Agence France Presse. Selon l’eurodéputé libérale Sylvie Goulard, il est « dynamique et offensif », redonnant son rôle du Parlement européen, seule institution de l’UE directement élue au suffrage universel.
Une idée largement suivie par le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, qui a indiqué que le « lieu de naissance de l’Europe », « nous voulons lui donner un nouvel avenir, car l’Europe ne peut pas continuer comme ça [...] c’est le projet européen qui est en danger ». Mais aussi le Premier ministre belge Elio di Rupo, qui a ajouté : « il faut changer de cap en Europe ».
Dans un programme en dix points pour les cinq années à venir, appelé « Pour une nouvelle Europe », les socialistes européens souhaitent une Union Européenne « qui avance », avec comme priorité l’emploi, la relance de l’économie et la finance au service des citoyens et de l’économie réelle. Une « Union qui protège », avec l’égalité et les droits des femmes, de la diversité et sécurité et santé pour tous. Enfin, le projet propose une « Union qui agit », avec une Europe verte, Plus de démocratie et de citoyenneté active et la promotion de l’influence de l’Europe dans le monde
En octobre 2013, Martin Schulz avait incité les européens à « changer l’Europe ». Dans un courrier publié sur LePlus du Nouvel Observateur, il avait affirmé que « le seul rempart contre ces forces eurosceptiques est la mobilisation de tous ceux qui croient dans l’idéal européen ». Car « les défis pour la prochaine législature sont capitaux : stabiliser l’euro, relancer la croissance et créer des emplois sur le continent, et ainsi redonner confiance aux citoyens européens ». Des défis qu’il devra relever, si ce dernier est élu.
Céline Tabou
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