
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Ne jamais traiter les Réunionnais en inférieurs
13 octobre 1986
29 août 2007, par
Trente ans après l’abolition du statut colonial, l’égalité était loin d’être acquise dans de nombreux domaines. C’est ce que montre par exemple le tableau reproduit en bas de page.
C’est alors que le gouvernement, soutenu et inspiré par des complices locaux, veut inscrire légaliser l’inégalité par le vote d’une loi-programme instaurant la parité.
Pour protester contre cette injustice, les députés du PCR démissionnent. Cet acte sans précédent est suivi d’une campagne d’explication et de mobilisation contre l’inscription de la parité dans la loi. Une parité qui remet en cause la loi du 19 mars 1946 et qui est même anticonstitutionnelle.
Ce texte fut finalement voté et les députés de l’opposition socialiste ne saisirent pas le Conseil constitutionnel. Il était pourtant évident que cette loi était anticonstitutionnelle, car à travers la parité, elle consacrait un principe contraire à la Constitution.
Seize mois plus tard, la lutte des Réunionnais portait ses fruits lors d’une visite dans l’île du président de la République. Alors candidat à sa réélection, François Mitterrand s’engagea à réaliser l’égalité en cas de victoire à la présidentielle. Il devança largement à La Réunion son adversaire qui soutenait la parité. Sur le plan national, c’est le candidat de l’égalité qui l’emporta. Depuis cette date, aucun président de la République, et aucun gouvernement, n’a fait voter une loi qui diminue les droits des Réunionnais et les considère comme des inférieurs.
M. M.
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