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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Destination santé
7 mai 2009
Jean-Jacques Rein, chef du service de Cardiologie pédiatrique à l’Hôpital Hadassah de Jérusalem, alterne entre désarroi et espoir. Dans un contexte toujours aussi difficile, l’espoir porte un nom. Ou plutôt un prénom : Jana. Cette petite palestinienne, qui pesait 2,2kg à la naissance, est née à Jérusalem porteuse d’une grave malformation cardiaque. « Elle a été immédiatement appareillée avec un pacemaker externe et transférée en soins intensifs », explique Jean-Jacques Rein. Le lendemain, « on lui a implanté un pacemaker fixe, qui a rétabli un rythme de 100 battements à la minute ». Cette intervention délicate « peu fréquente chez un nourrisson » de quelques heures, est la 150ème réalisée avec le soutien de l’association française Un Cœur pour la paix, depuis sa création en octobre 2005. Elle s’est extrêmement bien passée, et Jana devrait quitter l’hôpital dans les 48 heures. Malgré les conflits, les interventions n’ont jamais cessé.
Les visages de ces poupons, les sourires de leurs parents sont autant de lueurs dans la nuit. « Chaque semaine à Gaza un enfant meurt, faute de soins, des suites d’une cardiopathie congénitale ». Et les prévisions sont alarmantes. « L’on parle de 500 à 600 par an », poursuit le Pr Rein d’un ton grave. « Et dire qu’on ne s’occupe que de 10% de ces malades... ». C’est là tout le défi d’un Cœur pour la Paix. Les dons récoltés servent non seulement à cofinancer les opérations — chacune coûte 12.000 euros — mais aussi à former des médecins palestiniens au diagnostic et à la prise en charge des cardiopathies congénitales. Vous souhaitez soutenir Un Cœur pour la paix. Vous pouvez adresser un chèque libellé à l’ordre de Un Cœur pour la Paix, à l’adresse suivante : 48 rue Cortambert, 75016 Paris.
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