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Alimentation de l’enfant : 3 erreurs à ne pas commettre

29 avril 2013

Entre 1et 3 ans, l’alimentation de votre petit se diversifie. Il découvre des goûts qu’il ne soupçonnait même pas. Voilà donc une période clé pour son développement, mais aussi dans l’acquisition de ses futures habitudes alimentaires. Votre rôle est donc primordial. Tour d’horizon des erreurs à ne pas commettre.

photo Adam Borkowski-Fotolia

Ce n’est une découverte pour personne, les petits sont naturellement attirés par les saveurs sucrées. Beaucoup de parents, pour les satisfaire, leur proposent des aliments sucrés plutôt que du pain, des légumes ou de la viande. Grave erreur. Crèmes desserts et autres friandises représentent un apport énergétique important qui se fera au détriment d’aliments de meilleure valeur nutritionnelle.

Certains parents ont tendance à re-saler systématiquement les aliments. Sans compter ceux qui, par manque de temps, privilégient les aliments industriels, à la teneur en sel souvent élevée. « Il est nécessaire de recourir aux aliments industriels spécifiques pour bébés, plus adaptés en termes de composition », indique le Fonds français Alimentation et Santé.

Souvent oubliées, les matières grasses sont pourtant nécessaires. Il convient parfois même d’en ajouter . « En effet, 45% à 50% des calories apportées par le lait (maternel ou infantile) sont d’origine lipidique », confirme le Fonds français. « Dès lors, passer de 800 à 500 ml de lait par jour réduit cet apport, ce qui est prématuré avant 3 ans. Il faut donc compenser cette diminution ». Vous pouvez tout à fait ajouter une noisette de beurre ou un petit filet d’huile d’olive (riche en oméga 3) dans sa purée de légumes… Le goût n’en sera que meilleur.

©Agence de Presse Destination Santé-2013

tèks 2 + foto 14b (photo phovoir) ou (photo phovoir) (NE PAS METTRE EN LIGNE)

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Pour eux, pour les vôtres… vermifugez

Vermifuger votre chat ou votre chien, c’est indispensable pour protéger sa santé… mais aussi la vôtre et celle de vos proches. Or, par manque d’information ou simple négligence, bon nombre de maîtres oublient de traiter leur animal de compagnie ! Toxocarose pour sa fréquence, échinococcose pour sa gravité : ces deux zoonoses dues aux parasites internes des animaux de compagnie sont des préoccupations constantes de santé publique. L’une et l’autre peuvent se développer insidieusement et sans symptôme spécifique, jusqu’au développement de pathologies invalidantes, voire mortelles dans des cas extrêmes.

A quel rythme dois-je vermifuger ? Chiots et chatons devront être vermifugés chaque mois pendant 6 mois. Puis vous devrez renouveler l’opération quatre fois par an. Voire plus si les lieux et conditions de vie constituent un risque supplémentaire d’infection. D’autres gestes simples vous préserveront des parasites véhiculés par votre animal : chaque jour, retirez ses déjections de la litière (pour ce qui est du chat) ou du jardin. Et ne laissez pas les enfants jouer dans les bacs à sable publics, trop souvent souillés par des déjections canines ou félines. Enfin, lavez-vous régulièrement les mains avec de l’eau et du savon… et pas seulement lorsque vous devez préparer un repas.

Les jeunes enfants, avec leur habitude de porter les mains à la bouche après avoir caressé leur animal ou s’être blottis contre lui, sont particulièrement vulnérables. Voilà pourquoi votre chien ou votre chat doit être vermifugé à intervalles réguliers. C’est tout simplement un geste de santé.


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