
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Destination Santé
14 mars 2016
Allergie alimentaire, asthme, conjonctivite, eczéma, rhinite… Si elle se manifeste sous différentes formes, l’allergie est toujours le résultat d’une erreur d’appréciation. De qui ? Du système immunitaire. Il constitue le siège d’interactions complexes mais sur lesquelles il est possible d’agir. Par l’intermédiaire notamment de micronutriments et de plantes. Et cela, sans même se préoccuper du ou des allergènes en cause. Explications.
Notre système immunitaire agit comme une tour de contrôle. Bactérie, virus et autres parasites… dès qu’un intrus pénètre à l’intérieur de son périmètre, que ce soit par la voie digestive, respiratoire ou cutanée, il sonne l’alarme et mobilise ses combattants. La cible va être prise d’assaut par des cellules appelées phagocytes. Il s’ensuit des réactions en cascade : les globules blancs vont se démultiplier à l’image des lymphocytes Th2 et des lymphocytes B. Ces derniers vont libérer des anticorps (des immunoglobulines E ou IgE) qui vont se fixer sur les intrus et les éliminer.
Chez l’allergique, et à cause de prédispositions génétiques, le système immunitaire est comme désorienté. Au point de mobiliser ses troupes contre des substances inoffensives comme les acariens, les pollens ou des moisissures. Lors de la première rencontre, il ne se produit aucune réaction visible de l’extérieur. Les spécialistes parlent de « phase de sensibilisation ». Le processus prend toutefois une tournure bien désagréable lors de la deuxième rencontre entre le système immunitaire et l’allergène. Celui-ci est bien capté par les IgE mais les cellules sur lesquelles ces anticorps étaient fixés vont alors libérer quantités de substances pro-inflammatoires (histamine, leucotriènes…) responsables de la crise allergique.
La prise en charge des maladies allergiques repose sur l’éviction des allergènes, à condition toutefois que ces derniers aient été identifiés. Elle est généralement associée à un traitement pharmacologique. Quant à l’immunothérapie spécifique (ITS) appelée aussi désensibilisation, elle consiste à habituer l’organisme à l’allergène. Mis en présence de quantités croissantes de la substance, le corps développe ainsi une accoutumance.
Depuis quelques années, les recherches tendent à se rapprocher d’un organe-clé de l’immunité : l’intestin. Des déséquilibres du microbiote intestinal ont ainsi été mis en cause dans les dysfonctionnements associés aux allergies. C’est pourquoi, une modulation du microbiote par un apport spécifique en probiotiques constitue une piste dans la prévention des allergies. Par ailleurs, les acides gras oméga 3 sont utilisés pour renforcer l’étanchéité de la muqueuse intestinale et donc limiter le processus d’inflammation.
« L’inflammation allergique correspond à une réponse immunitaire particulière », explique le Dr Marc Beck, médecin généraliste, phytothérapeute et compétent en micronutrition. « Elle est caractérisée par un excès en lymphocytes Th2 et donc un déséquilibre de la balance Th2 et Th1. Mais encore d’une augmentation des IgE ».
La bonne nouvelle est « qu’il est possible d’intervenir à ce niveau immunitaire ». De quelle façon ? « Par l’administration ciblée de probiotiques et/ou de plantes. La réglisse, le sureau et le curcuma vont freiner le Th2. Quant à l’action d’extraits de plantain, elle tendra à inhiber les IgE. Des souches probiotiques peuvent aussi stimuler les lymphocytes Th 1 et maintenir ainsi l’équilibre avec les Th2 ».
D’une manière générale, il s’agit donc de « travailler le terrain ». Dans la pratique, le médecin constate une « disparition de l’allergie en 3 à 4 ans. Mais surtout une diminution des symptômes dès la première année. Le tout, sans effets secondaires », conclut le Dr Beck. Pour en savoir davantage sur le sujet, vous pouvez consulter le site http://www.probiotiques-sante.fr/.
© Agence Destination Santé
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)