
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
3 juillet, parUne information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Destination santé
20 juillet 2011
Dans la hiérarchie sociale des babouins, les mâles dominants, ceux qui trônent au sommet de la pyramide, seraient plus stressés que les autres. Ou du moins, ils ne connaîtraient pas le même type de stress. Cette étrange conclusion ressort d’une étude américaine publiée dans le dernier numéro de la revue “Science”. Un constat qui, semble-t-il, se retrouverait aussi dans notre société.
Les mâles dominants chez les babouins — comme ailleurs ? — ont un meilleur accès aux ressources… et à la reproduction. Cependant, ils doivent se battre pour préserver ce statut privilégié. Et c’est alors que l’angoisse fait son apparition. Pour en arriver à ces conclusions, les équipes du Pr Jeanne Altmann de l’Université de Princeton dans le New Jersey (États-Unis) ont relevé les taux d’hormones du stress présents dans les déjections de ces animaux.
Résultat, ces derniers se sont avérés élevés dans les prélèvements provenant de mâles dominants. Mais pas seulement. Car, au final, il n’y aurait pas de si grandes différences avec ceux constatés parmi leurs congénères de second rang. Pour Jeanne Altmann, la nature du stress serait toutefois différente. « Dans le premier cas, les mâles doivent en permanence veiller à préserver leur rang. Ils doivent maintenir une forte activité reproductive, tandis que les mâles du bas de l’échelle se battent… pour accéder à la nourriture ou d’autres ressources ».
Ces résultats suggèrent que chez les primates, le sommet de la hiérarchie sociale implique des avantages, mais aussi un coût émotionnel. Celui-ci reste « à mieux évaluer », mais il est bien réel. Une situation finalement pas si éloignée de celle qui prévaut dans nos sociétés « civilisées ». Charles Darwin n’avait peut-être pas tout à fait tort…
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