
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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17 septembre 2011
En France chaque année, 200 nourrissons sont victimes du syndrome du bébé secoué. Ce dernier provoque des lésions graves du système nerveux central, et elles sont parfois fatales. Entre 10% et 40% des bébés secoués meurent en effet des suites de ce traumatisme. La Haute Autorité de Santé (HAS) recommande par conséquent une sensibilisation accrue des jeunes parents et une aide spécifique aux médecins.
Le cerveau d’un bébé bouge à l’intérieur de la boîte crânienne. Ainsi, lorsque le petit est secoué, sa tête se balance rapidement, d’avant en arrière et le cerveau frappe violemment l’intérieur de la boite crânienne. Des vaisseaux sanguins peuvent se déchirer, saigner et entraîner des lésions cérébrales potentiellement irréversibles. « Le syndrome du bébé secoué survient lorsqu’un adulte, confronté à des pleurs qui ne se calment pas, secoue un bébé par exaspération ou épuisement. Et dans 7 cas sur 10, il s’agit d’un homme », précise la HAS.
La Haute Autorité a publié des documents destinés aux médecins. Ils doivent leur permettre de mieux diagnostiquer ce syndrome, et les aider à prévenir les récidives qui surviennent dans plus de 50% des cas. « Les professionnels de santé doivent agir rapidement, en commençant par hospitaliser l’enfant », précise-t-elle. « Parallèlement, cette maltraitance doit conduire à établir soit un signalement au Procureur de la République si le diagnostic est certain, hautement probable ou probable. Soit une information préoccupante au président du Conseil général si le diagnostic est possible ».
La HAS insiste enfin sur l’importance d’informer les jeunes parents à la sortie de la maternité sur les pleurs du nourrisson. Et de leur expliquer qu’ils peuvent en être exaspérés. En soi, ce n’est ni surprenant, ni même choquant. En revanche, il est important d’avoir la bonne réaction. Or, comme l’explique la HAS, « face à des pleurs prolongés sans cause d’un bébé, le réflexe à avoir est de le coucher sur le dos dans son lit et de quitter la pièce. Se ménager, se protéger, c’est aussi protéger bébé ».
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