
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Destination Santé
13 décembre 2017, par
Constamment essoufflée, incapable de monter les escaliers ou de s’occuper de sa petite-fille, Michèle souffre de BPCO. A 67 ans, elle intègre un centre de réhabilitation respiratoire. Six mois plus tard, elle mène une nouvelle vie. Chaque jour, elle mesure ses progrès.
« Il y a une amélioration qui s’est installée assez rapidement et je fais aujourd’hui des choses que je ne faisais plus du tout depuis pas mal de temps », nous confie Michèle. « Le matin, je peux refaire du vélo d’appartement comme me l’avait conseillé mon pneumologue. Avant au bout de 10 minutes j’étais épuisée. Aujourd’hui je peux en faire plus de 30 minutes ».
Pneumologue au CHU de Nantes et à l’Institut du thorax, le Dr Arnaud Chambellan explique que les progrès au niveau du souffle peuvent se mesurer facilement. « Six mois après le stage de réhabilitation, nous pouvons réaliser une évaluation. De manière assez standard, on propose au patient une consultation avec le médecin, un point sur l’éducatif, sur la consultation diététique, un test de marche, la mesure du souffle. Et puis bien entendu, nous évaluons aussi l’évolution sur la qualité de vie du patient ».
Progressivement les malades vont sortir du cercle vicieux de la maladie qui peu à peu les mène à l’isolement social. « Les verrous qui se sont installés insidieusement au cours des années, depuis l’essoufflement, jusqu’à la sédentarisation vont se lever », explique le Dr Chambellan. « Ils vont se rendre compte en reprenant l’exercice régulièrement, que leur corps devient plus résistant, plus endurant, qu’ils sont capables de faire des choses qu’ils avaient arrêtées auparavant. Ils peuvent ainsi refaire des projets de vie, comme voyager. Ou encore faire des choses très simples comme Michèle : remonter les escaliers, s’occuper de sa petite-fille ».
© Agence Destination Santé
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