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Destination santé
10 novembre 2011
En France, à l’automne, le chien de chasse passe une grande partie de son temps à l’extérieur. Courses dans les bois, parties de chasse, trial dans les herbes… « Une fois à la maison, il est important de prendre le temps de l’examiner », souligne Eva Faure, vétérinaire à la Fédération régionale des Chasseurs du Languedoc-Roussillon. Tout bon chasseur soigne son chien… comme un cavalier sa monture. Il doit vérifier ses yeux, ses oreilles, sa truffe et ses muqueuses en général. Il y recherchera les petites graminées ou les grains de blé qui auraient pu s’y ficher, pour éviter tout risque d’infection.
Inspecter le corps de son compagnon de chasse, c’est aussi la meilleure manière de détecter la présence de tiques, d’une plaie ou de la morsure infligée par un animal sauvage. La probabilité qu’une tique transmette au chien la maladie de Lyme est faible, si celle-ci est retirée en moins de 24 heures. D’où l’importance de vérifier systématiquement au retour d’une sortie. Quant aux plaies ou aux morsures, une consultation chez le vétérinaire s’impose. De toute façon, le chien de chasse doit être vacciné comme n’importe quel chien, contre la rage notamment. Pour le reste, tout dépend de l’environnement dans lequel il évolue. S’il est appelé à entrer en contact avec l’eau par exemple, il peut être utile de le vacciner contre la leptospirose. Le mieux est d’en discuter avec son vétérinaire.
Le chien de chasse reste un chien comme tous les autres… à quelques détails près. Son alimentation, par exemple. Beaucoup plus souvent à l’extérieur en période de chasse, il se dépense davantage. Sa ration journalière doit être augmentée, sans toutefois faire varier la quantité de viande qu’il va absorber. « Le chien n’est carnivore qu’à 20% environ. Il lui faut surtout des protéines de bonne qualité, pas nécessairement en quantité. Evitez aussi de lui donner des abats », insiste le Dr Faure.
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