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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Destination santé
26 juin 2010
Souvent pris au piège d’habitudes qui se veulent rassurantes, les sportifs de haut niveau détestent modifier leur quotidien. En instaurant l’hiver dernier un suivi micro-nutritionnel personnalisé, les dirigeants de l’équipe cycliste Cofidis ont pourtant pris le risque de totalement bouleverser l’alimentation de leurs coureurs. A quelques jours du départ du Tour de France, bilan d’étape d’un pari qui semble — déjà — gagné.
A la fin de l’année 2009, « les 23 coureurs de l’effectif ont été soumis à une multitude de questionnaires sur leur état de santé, mais aussi d’examens biologiques », explique le Dr Jacky Maillot, médecin en chef de la formation Cofidis. Lequel avoue « avoir été un brin dubitatif, au début… ».
Problèmes de récupération, fatigue, difficultés à se lever le matin, douleurs dans les jambes… les symptômes décrits par les coureurs sont analysés à la loupe par le Dr Didier Chos et Denis Riché, responsables du suivi nutritionnel des sportifs de haut niveau, au département sport à l’Institut européen de Diététique et de Micronutrition (IEDM). Les symptômes donc, mais aussi les habitudes alimentaires et même le passé (les cas de blessures notamment) des athlètes. A la lumière des bilans biologiques et des éléments recueillis, une véritable enquête est alors mise en place pour tenter d’établir des liens entre les choix alimentaires et les troubles décrits.
A la vue des résultats, le Dr Maillot s’est vite laissé convaincre… « Bien des coureurs étaient carencés en micronutriments essentiels comme la co-enzyme Q10 et les acides gras oméga 3. Il a fallu les persuader de modifier leur alimentation ». C’est ainsi qu’ils se sont mis à consommer des aliments qu’ils évitaient, comme les sardines à l’huile (riches en oméga 3) et les amandes. « L’approche est individualisée », enchaîne le médecin. « En cas de carence, nous corrigeons d’abord avec l’alimentation. Et si elle persiste, le sportif recourt à une complémentation par des produits de qualité ».
Une saine alternative à la tentation du dopage
Depuis son poste de manager général, Eric Boyer a observé le comportement de ses hommes avec attention. « Cela n’a pas été simple de les convaincre de bouleverser leurs habitudes alimentaires. Ils ont vraiment adhéré lorsqu’ils ont constaté leurs déficits, et surtout lorsqu’ils ont senti les bienfaits de cette approche. Certains n’ont pas eu de rhumes de tout l’hiver, alors qu’avant, ils les multipliaient. D’autres nous disent mieux récupérer de leurs efforts, et se sentir plus réveillés le matin. Et comme le cycliste écoute beaucoup son corps… ».
Le Dr Didier Chos, pour sa part, ajoute que « dans la situation actuelle liée aux questions de dopage, l’expérience de sportifs de haut niveau ayant bénéficié d’un suivi en micro-nutrition peut servir d’exemple pilote. Si nous donnons à l’athlète des clés pour qu’il se sente mieux, il ne sera pas tenté de recourir à des artifices. Il faut simplement bien prendre le temps de lui expliquer le pourquoi du comment ».
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