
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Destination santé
14 janvier 2013
Prendre la pilule pour la première fois, ou toute autre forme de contraception hormonale d’ailleurs, c’est une étape importante dans une vie de femme. Dans l’absolu, bien sûr, la prescription de contraception n’est jamais anodine. La polémique sur l’augmentation du risque de thrombose veineuse attribué aux pilules de 3ème et 4ème générations en est une illustration édifiante. Toutefois, l’importance de cette consultation est encore plus grande lorsqu’il s’agit de la première prescription d’une contraception hormonale.
« Avant tout, il faut essayer de comprendre le fonctionnement de la jeune fille », explique le Dr Brigitte Raccah-Tebeka, gynécologue-endocrinologue à l’Hôpital Robert Debré de Paris. « Son environnement familial, scolaire et social. Vit-elle avec ses parents ? Est-elle venue de son plein gré ? Mais aussi, a-t-elle débuté une sexualité active ? Quelles sont ses connaissances en anatomie et en physiologie ? Ces informations permettent au médecin de se familiariser avec la jeune femme et sa vie quotidienne. Cette première consultation offre aussi la possibilité de mettre en place un climat de confiance entre la patiente et son praticien ».
Ensuite, les antécédents familiaux et personnels doivent être passés au crible. « Le médecin doit notamment s’informer sur les facteurs de risque comme le diabète, le cholestérol, l’HTA, le cancer du sein », poursuit la gynécologue . « Mais aussi les éventuelles thrombophlébites dont auraient pu souffrir ses proches ou elle-même. « Enfin, la jeune patiente doit être interrogée sur sa consommation de tabac, d’alcool et éventuellement d’autres drogues. En outre, les prises médicamenteuses et les pathologies chroniques comme l’épilepsie doivent être notées ».
Un bilan biologique complet
Si la jeune femme est en surpoids, ou s’il y a des antécédents familiaux, un bilan de la glycémie, des triglycérides et du cholestérol doit être demandé. Par ailleurs, s’il existe des antécédents personnels ou familiaux de phlébite ou d’embolie pulmonaire, le dépistage d’une anomalie génétique de la coagulation peut aussi être prescrit. « L’examen clinique, enfin, doit être mené avec beaucoup de sérieux et de douceur. Le poids et la tension seront mesurés. Le calcul éventuel de l’indice de masse corporelle (IMC) et du rapport taille/hanche peut aussi être effectué si l’adolescente présente un surpoids ».
Le contrôle de l’état de la peau, lui aussi, est impératif. Notamment pour vérifier s’il existe une acné ou une hyperpilosité. « Si l’examen des seins est obligatoire pour toutes les patientes, l’examen gynécologique dépend de la situation de la jeune femme. Si elle n’a pas débuté d’activité sexuelle et ne présente aucun problème de menstruations, il peut être reporté ».
Suite à cette consultation, « la majorité des jeunes femmes s’orientent vers la pilule » , indique Brigitte Raccah-Tebeka. « Cette première contraception n’est prescrite que pour une durée de 3 mois. Ensuite, un nouveau rendez-vous est donné pour faire le point. C’est alors que peuvent être proposées d’autres méthodes contraceptives, si la pilule ne convient pas. Dans tous les cas, un bilan biologique est effectué à ce stade. Enfin, le renouvellement de la pilule n’est jamais anodin. Il faut refaire le point avec la patiente, au moins une fois par an ».
En matière d’observance, la pilule a longtemps été pointée du doigt. « Si elle était souvent oubliée, elle l’est beaucoup moins aujourd’hui. Notamment grâce aux téléphones portables. Les jeunes filles, en effet, programment l’alarme pour y penser. Et ça marche ! ».
©Agence de Presse Destination Santé-2013
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