
Turbulence à la Mairie de Saint-André
5 juillet, parAprès les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Destination santé
30 novembre 2010
Avril 2010 : sur évaluation de la Haute Autorité de Santé (HAS), le gouvernement réduit de 35% à 15% seulement le taux de remboursement de 150 médicaments. Pour le Pr Bernard Avouac, rhumatologue au CHU Henri Mondor de Créteil, cette mesure « applique une démarche exclusivement économique à des traitements dont les patients ont réellement besoin ». Officiellement, ce déremboursement découle d’évaluations scientifiques. Les membres de la HAS ont en effet considéré que les traitements concernés offraient un service médical rendu “faible”. « Autrement dit, le rapport coût/efficacité de ces médicaments ne serait pas suffisant pour justifier un remboursement à 35%, voire 65% », précise le Pr Avouac.
Lui-même ancien membre de la Commission de transparence de la HAS, il estime cependant dommage que l’on retrouve dans cette liste des médicaments qui répondent à des besoins importants. Il s’y trouve en effet « des antiépileptiques, des médicaments contre la maladie de Parkinson, des antiallergiques, voire certains anticancéreux ». Ces médicaments concernent des pathologies sévères. « Même si l’on considère que leur rapport coût/efficacité n’est pas aussi important que pour d’autres, les patients, eux, leur trouvent un intérêt ». Pour les malades, en effet, ce type de mesure reste toujours difficile à comprendre. « Etre remboursé à 15% parce que l’Administration considère que l’efficacité d’un médicament n’est pas suffisante, c’est difficile à admettre pour le patient qui est satisfait de son médicament ».
Bernard Avouac n’est pas loin de penser qu’il y a là une forme d’injustice. D’autant plus que le “reste à charge”, comme il est désormais convenu d’appeler ce qui n’est pas remboursé au malade, n’est plus systématiquement complété par les mutuelles. Celles-ci vont même jusqu’à recommander de ne pas recourir à ces médicaments remboursés à 15%. « La Mutualité française a publié des documents expliquant comment, dans l’arthrose par exemple, les patients pouvaient se passer des traitements dont le remboursement a diminué », regrette-t-il. Pour sa part, il se réclame d’un discours radicalement différent. « Ne changez pas de médicament, changez de mutuelle ». Voilà qui est clair… « Ces traitements ont le mérite d’exister, ils correspondent à des maladies qui peuvent être gênantes, voire invalidantes. Je considère que les patients doivent continuer à pouvoir les prendre ».
Après les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Le CIOM « national » aura bien lieu le 10 juillet au Ministère des Outre-mer, en présence du Premier ministre, François Bayrou et du ministre de (…)
Kan i ariv Novanm-Désanm-Zanvié, domoun i réziste pi ek la salèr. Zène-zan i mars dann somin, zène-fi i roul an dékolté ; sétaki i rod in manir po (…)
En avril 2025, la ministre malgache des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika a déclaré que "la position de Madagascar concernant la (…)
L’ancien chef de la diplomatie européenne a déclara qu’« en un mois, 550 Palestiniens affamés ont été tués par des mercenaires américains ». Une (…)
Après l’opération militaire d’Israël « Rising Lion » (« Lion dressé ») contre l’Iran dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, et celle (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)