
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Destination santé
18 octobre 2007
La perte des cheveux, chez l’homme ou la femme, peut poser des problèmes psychologiques liés à la représentation car la chevelure est un élément essentiel de l’image que nous donnons de nous-mêmes. Les cheveux restent synonymes de puissance, de virilité masculine et de séduction féminine. Cela peut entraîner une perte de confiance en soi, le sentiment d’être moins désirable et de vieillir plus vite.
• 65% des hommes devront faire face au problème de la chute des cheveux.
• 38% deviendront plus ou moins chauves. C’est ce qu’on appelle la calvitie. La chute chez l’homme est la plus souvent androgénétique.
Ce que l’on sait moins, c’est que 75% des femmes rencontrent aussi un problème de chute au cours de leur vie. L’alopécie est plus diffuse. Elle est caractérisée par des cheveux clairsemés sur l’ensemble du cuir chevelu.
Elle peut survenir ponctuellement car elle est souvent due à des facteurs extérieurs tels que le stress, le surmenage, la prise de certains médicaments, la pollution ...
Pourtant, de plus en plus de femmes souffrent d’alopécie androgénétique qui découle d’une prédisposition génétique. Elle représente environ 35% des cas de chute de cheveux au féminin.
2,5 à 3 millions de Français sont prêts à tout pour retrouver leur chevelure.
La chute des cheveux se traite facilement avec des traitements anti-chute qui nourriront le follicule pileux de l’intérieur en lui apportant des vitamines et des oligo-éléments adaptés, sous forme de compléments alimentaires performants. Mais parfois, les produits ne suffisent pas à enrayer définitivement la chute.
C’est alors qu’il faut envisager la greffe de cheveux.
Le principe de la greffe de cheveux
La greffe de cheveux ne multiplie pas les cheveux, mais les redistribue en utilisant le capital cheveu de chacun, et ce en prélevant une bandelette de cuir chevelu dans la nuque (zone donneuse). Cette bandelette est découpée en autant de micro-greffons (contenant un, deux ou trois cheveux) qu’elle peut en contenir. Une fois tous les greffons prélevés, ils sont ré-implantés un par un dans la zone dégarnie. Le capital cheveux est le nombre de cheveux programmé génétiquement pour pousser jusqu’à la fin de notre vie. Ce capital n’est donc pas inépuisable et le nombre possible de greffes est donc limité. Une tête normale contient entre 100.000 et 150.000 cheveux. Une perte de 20 à 75 cheveux par jour est normale.
Les différentes techniques de greffe de cheveux
Apparue il y a presque 50 ans, la technique de la greffe a connu beaucoup d’améliorations, surtout au niveau du résultat esthétique.
Il existe plusieurs techniques de prélèvements des greffons. Ces techniques ont évolué avec le temps.
Au départ, existaient les macro-greffes : On implantait les cheveux par petites touffes. L’intervention était douloureuse et le résultat manquait de naturel.
Il y a 20 ans, on a diminué la taille des greffons et introduit les mini-greffes, qui ne comptaient plus que 5 à 11 cheveux. Le résultat esthétique s’est amélioré. Cette méthode est encore employée aujourd’hui dans un certain nombre de cliniques.
Quelques années plus tard, les micro-greffes (1 à 4 cheveux) apparaissent. Elles permettent une implantation cheveu par cheveu sur la bordure frontale et donc un résultat esthétique très naturel.
Il y a 5 ans, apparaissait la micro-transplantation folliculaire. C’est dans la découpe des greffons que se situe la principale amélioration.
Contrairement à ce que l’on pense, les cheveux humains ne poussent pas cheveu par cheveu, mais souvent par groupe de cheveux. Si l’on utilise une micro-caméra à fort grossissement, on constate que les cheveux poussent par petits paquets de 1 à 4 cheveux. Ces petits groupes de cheveux sont appelés unités folliculaires.
La découpe à l’œil nu des cheveux dans la zone donneuse risque d’endommager un nombre important d’unités folliculaires. Ainsi, de nombreux cheveux sont tout simplement perdus ou détruits pendant cette phase de récolte alors qu’ils sont en fait très vigoureux.
Avec le microscope binoculaire stéréoscopique, qui est une innovation importante dans le domaine de la greffe, il est désormais possible de récolter 30 à 50% de cheveux en plus. Ce microscope permet de séparer les greffons par unités folliculaires en respectant les ressources capillaires naturelles du patient.
Cette technique a bouleversé le monde de la greffe car elle permet d’implanter en une seule séance entre 1.500 et 2.500 greffons, soit 4.000 à 6.500 cheveux, ce qui a pour conséquence :
• De préserver au maximum le capital cheveux du patient
• D’obtenir une densité beaucoup plus importante
• De bénéficier de résultats plus rapides et plus naturels
• De diminuer les coûts de manière considérable
La découpe des petites unités folliculaires est tellement minutieuse qu’elle nécessite au moins 8 à 10 infirmières spécialisées et équipées chacune d’un microscope binoculaire stéréoscopique.
Malheureusement, le matériel et la main d’œuvre sont très coûteux et très peu de cliniques offrent cette alternative.
à suivre...
(Source : Medical Technology Consulting)
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