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Destination santé
3 septembre 2008
Du 1er septembre au 30 novembre, la Fondation Arthritis organisera pour la seconde fois “Le Rallye de la vie”. Il s’agit pour elle de sensibiliser et d’informer le public sur les rhumatismes inflammatoires chroniques : spondylarthrite ankylosante, polyarthrite rhumatoïde, arthrite juvénile idiopathique, lupus, Syndrome de Gougerot-Sjogren, maladie de Behçet...
Peu à peu, ces maladies inflammatoires détruisent les articulations. Et elles retentissent lourdement sur la qualité de vie. Pour accompagner les malades, la Fondation met à leur disposition des outils pédagogiques, disponibles auprès des professionnels de santé. Mais elle œuvre aussi pour la recherche, et elle lance pour cela une campagne d’appel aux dons auprès du public. Pour donner, rien de plus simple, il suffit d’appeler le 0800-333-555 (Numéro Vert - appel gratuit) ou faire un don sur son site Internet www.fondation-arthritis.org.
Cette année encore, la campagne connaîtra son point d’orgue à l’occasion du Championnat de France des Rallyes. Ceux du Mont-Blanc du 5 au 7 septembre, du Touquet du 3 au 5 octobre, des Cévennes entre le 7 et le 9 novembre et du Var les 28, 29 et 30 novembre. Un pilote pas comme les autres y prendra part sous les couleurs de la Fondation. Lionel Comole souffre en effet de spondylarthrite ankylosante, « une maladie inflammatoire douloureuse qui touche le rachis », nous explique le Pr Maxime Dougados, rhumatologue à l’hôpital Cochin (Paris). « Les douleurs sont si fortes, d’ailleurs, qu’elles réveillent le malade en deuxième partie de nuit ».
Ces signes, malheureusement, n’incitent pas assez à consulter. « Le mal de dos est trop souvent perçu comme une douleur liée à l’effort », précise le Pr Dougados. Résultat, la maladie est diagnostiquée en moyenne 3 à 5 ans après les premiers symptômes. Le problème, c’est que l’inflammation va peu à peu détruire les articulations. « Il est donc primordial de diagnostiquer la maladie précocement. Car si les destructions sont malheureusement irréversibles, l’inflammation, elle, est réversible. Nous disposons aujourd’hui de moyens thérapeutiques qui stoppent l’évolution naturelle de la maladie ».
Lionel Comole est le témoin actif de ces avancées. Sans les anti-TNF-alpha, il ne pourrait plus piloter. D’autres patients n’ont pas sa chance. « Entre 20% et 30% des malades ne répondent pas à ces traitements », souligne Maxime Dougados. « Il est donc extrêmement important de poursuivre les recherches pour trouver de nouveaux médicaments ». Pour davantage d’informations : www.fondation-arthritis.org.
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