
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
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Destination santé
30 septembre 2008
Fréquentes, longues, douloureuses, abondantes... Une majorité de femmes subissent littéralement leurs règles. Au point de vouloir s’en affranchir ? Et pourquoi pas !? Le pas est franchi d’autant plus volontiers que certaines méthodes contraceptives permettent désormais d’envisager leur réduction, voire leur disparition complète. Et notamment le système intra-utérin (SIU) au levonorgestrel, qui connaît un succès croissant. Contrairement au dispositif intra-utérin au cuivre (DIU ou stérilet) qui est constitué d’un fil de cuivre, le SIU comporte un support en plastique en forme de T, associé à un réservoir. Celui-ci délivre un progestatif directement dans la cavité utérine : il s’agit donc d’une action hormonale locale, avec passage de très petites doses dans la circulation sanguine. Posé par le gynécologue, « il est efficace jusqu’à 5 ans », souligne le Dr David Serfaty dans son ouvrage “Contraception”.
Autrement dit, une fois qu’il est en place, plus besoin d’y penser pendant 5 ans. Mais au-delà de son efficacité contraceptive, le SIU au lévonorgestrel est « associé à une réduction du flux menstruel », poursuit David Serfaty. Il cite d’ailleurs, des études qui font état d’une « diminution de l’abondance des règles » pouvant atteindre chez des femmes ayant des règles anormalement abondantes... 97% ! En résumé, avec ce type de SIU, on oublie ses règles et sa contraception !
Le progestatif délivré par ce système inhibe la prolifération des cellules qui tapissent l’endomètre, c’est-à-dire la muqueuse utérine. « Grâce à la diminution progressive de son épaisseur et de sa vascularisation, une réduction des saignements survient chez la plupart des femmes », ajoute le Dr Serfaty. « Et cela, quelle que soit l’abondance de leurs règles avant l’insertion du système intra-utérin ». Bref, il semble bien qu’en matière de règles, il n’y ait désormais plus de règles, justement...
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