
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Destination santé
19 avril 2013
Plusieurs études ont déjà mis en évidence une relation directe entre les perturbations du rythme biologique et l’augmentation du risque de diabète. D’après une étude américaine, la mélatonine, cette hormone sécrétée entre 2h et 4h du matin dans l’obscurité, pourrait bien être en cause.
Le Dr Ciaran McMullan et son équipe du Brigham and Women’s Hospital de Boston ont conduit leur travail auprès de 740 femmes de 20 à 46 ans. Ce groupe comprenait notamment 370 diabétiques participant à la Nurses’ Health Study , un travail scientifique de grande ampleur inauguré aux États-Unis en 1976, auprès d’infirmières et d’étudiantes en soins infirmiers. Son objectif est d’identifier et d’évaluer l’ensemble des facteurs (génétiques, environnementaux…) susceptibles d’influencer la santé des femmes.
En l’occurrence, le rôle de la mélatonine dans l’apparition du diabète de type 2 a pu être mis en évidence. « Les participantes ayant un faible taux de cette hormone doublent leur risque de développer cette maladie » , expliquent les auteurs. Ces résultats font écho à des études antérieures, selon lesquelles les travailleurs de nuit sont plus exposés à l’obésité ou au diabète. En avril 2012 par exemple, des chercheurs américains avaient montré qu’un rythme de vie décalé augmentait le risque de diabète de type 2. La mélatonine serait donc au cœur du problème. Et pour cause, cette hormone est exclusivement sécrétée la nuit, entre 2h et 4h. Cette production s’exerce sous l’influence de l’obscurité. Autrement dit, en présence de lumière, pas de mélatonine.
©Agence de Presse Destination Santé-2013
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)