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Destination santé
29 décembre 2012
Selon une enquête CSA, près de 8 patients diabétiques sur 10 consomment des produits édulcorés. Cette consommation s’inscrit dans leur régime alimentaire quotidien pour 63% d’entre eux, à raison d’une ou plusieurs fois par jour. Si 64% des patients déclarent utiliser ces produits de leur propre initiative, 46% d’entre eux le font sur les recommandations d’un professionnel de santé.
« Les édulcorants font partie de l’arsenal dont nous disposons pour gérer le diabète », explique le Dr Pierre Azam, endocrinologue à Paris . « Imaginer que nous allons amener un diabétique à rompre totalement avec le sucre, c’est un leurre absolu ! L’attirance pour le goût sucré est inscrite dans notre cerveau. Nous avons besoin d’outils pratiques et pragmatiques pour permettre à nos patients de contrôler leurs apports en sucres ». Selon lui, les édulcorants sont donc un instrument indispensable au mode de vie du diabétique, et à l’acceptation de sa pathologie . « Si nous n’avions pas cet outil-là, nous serions très démunis pour faire accepter aux patients des modifications drastiques de comportement alimentaire ».
Les diabétiques consomment des produits à base d’édulcorants sous différentes formes : sucrettes, boissons sans sucre, confiseries, produits laitiers… Pour 81% des sondés habitués à cette substitution du sucre, c’est une aide quotidienne dans la gestion de leur pathologie. Ces produits permettent de rendre la discipline alimentaire moins contraignante. Les malades peuvent ainsi conserver la notion de plaisir liée au goût sucré. Les édulcorants permettent également aux patients de préserver leurs habitudes de sociabilité, en consommant les mêmes aliments que leur entourage. Et cela aussi bien à la maison que chez des amis ou dans le cadre de leurs relations professionnelles. « Plus nous disposons d’outils qui permettent d’améliorer la qualité de vie, plus il est facile de faire passer nos messages de respect des règles hygiéno-diététiques », explique le Dr Azam.
©Agence de Presse Destination Santé-2012
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