
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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16 décembre 2010
Huit ans après que l’on ait découvert le rôle des ruminants dans le réchauffement climatique, voilà que des chimistes néerlandais et de la NASA ont identifié un nouveau coupable tout aussi inattendu. Figurez-vous que les gaz… anesthésiques seraient mauvais pour le climat ! « Chaque année dans le monde, les gaz utilisés au cours des interventions chirurgicales affectent le climat dans les mêmes proportions qu’un million d’automobiles », explique très sérieusement Ole John Nielsen, depuis son laboratoire de l’Université de Copenhague, au Danemark.
Desflurane, isoflurane, sevoflurane… « Nous nous sommes penchés sur les trois gaz les plus couramment utilisés dans les salles d’opération », poursuit le chimiste. « Tous ont un impact négatif sur le climat, mais à des degrés divers ». A tel point qu’il en viendrait presque à recommander aux anesthésistes d’utiliser les gaz les moins nocifs pour préserver l’environnement…
La question reste posée toutefois de savoir comment lui est venue l’idée de s’intéresser aux gaz anesthésiques et à leurs liens éventuels avec la couche d’ozone ! « J’y ai pensé lorsque ma femme a accouché », rétorque-t-il. Comme quoi, tous les futurs papas ne sont pas déconcentrés par la joie… « Lorsque j’ai demandé à l’anesthésiste quel type de produit il utilisait pour endormir ses patients, il m’a parlé de composés halogénés. Or, ces derniers appartiennent à la même famille que le Fréon, dont l’impact sur la couche d’ozone est désormais bien connu ».
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Messages
16 décembre 2010, 16:19, par Maneki-Neko
Je trouve que la formulation de cet article entraine une certaine confusion entre réchauffement climatique et couche d’ozone.
D’un côté vous parlez du réchauffement climatique lié à l’automobile, donc vous faites allusion à la production de CO2, donc de gaz à effet de serre (GES). D’un autre côté, vous expliquez que les gaz utilisés en anesthésie sont des hallogénés (les fameux CFC) et sont destructeurs de la couche d’ozone.
Même si le problème de l’augmentation des GES et le problème de la dégradation de la couche d’ozone ont tous deux pour effet de réchauffer l’atmosphère, il n’y a pas de rapport de cause entre les deux.
Mélanger tout ça en comparant la pollution automobile avec l’utilisation de ces gaz est très dommage : cela contribue à embrouiller les gens sur les causes du réchauffement climatique. On n’a pas besoin de ça...