
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
14 juin 2007
À l’occasion de la Journée mondiale du don de sang, qui a pour thème cette année un sang sécurisé pour une maternité sans risque, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) lancera une nouvelle initiative visant à améliorer la disponibilité et l’utilisation de sang sécurisé pour sauver la vie de la mère lors de l’accouchement et après. L’initiative s’inscrit au début d’un programme plus large sur le sang sécurisé redéfini à Ottawa cette semaine et visant à assurer l’accès universel à la sécurité transfusionnelle à l’appui des objectifs du Millénaire pour le développement.
Plus de 500.000 femmes meurent chaque année dans le monde au cours de la grossesse
Plus de 500.000 femmes meurent chaque année dans le monde au cours de la grossesse, lors de l’accouchement ou au cours de la période post-partum - dont 99% dans les pays en développement. On estime à 25% la proportion de ces décès dus à une hémorragie sévère au cours de l’accouchement, la cause la plus fréquente de la mortalité maternelle.
L’hémorragie sévère pendant ou après l’accouchement est à l’origine de 34% des décès maternels en Afrique, de 31% en Asie et de 21% en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Les femmes enceintes représentent l’un des principaux groupes de transfusés dans les pays en développement et ce sont elles, en compagnie des enfants, qui sont particulièrement exposées à la pénurie de sang et à la contamination par le VIH, l’hépatite B et l’hépatite C présents dans le sang non sécurisé.
La transfusion sanguine est l’une des huit interventions essentielles permettant de sauver les vies dans les établissements offrant des soins obstétricaux d’urgence. Une transfusion de sang sécurisé en quantité appropriée au moment voulu lors du travail et de l’accouchement ou après est souvent une question de vie ou de mort pour beaucoup de femmes et de nouveau-nés.
Le sang sécurisé
L’initiative mondiale sur le sang sécurisé pour la maternité sans risque vise à améliorer l’accès au sang sécurisé pour traiter les complications de la grossesse dans le cadre d’une approche globale des soins maternels. Cette approche regroupe les soins prénatals, la prévention et le traitement rapide de l’anémie, l’évaluation des besoins transfusionnels et une transfusion de sang sécurisé uniquement lorsqu’elle s’impose vraiment.
L’accès insuffisant des femmes aux transfusions sécurisées reflète la situation générale dans les pays en développement où 80% de la population mondiale doit se contenter de 45% des stocks mondiaux de sang.
Sur les 80 pays où les taux de dons sont inférieurs à 1% de la population (moins de 10 dons de sang pour 1.000 personnes), 79 sont des pays en développement ; il est généralement recommandé que la proportion des donneurs de sang se situe entre 1 et 3% de la population pour couvrir les besoins d’un pays.
La dernière enquête de l’OMS effectuée dans 172 pays, couvrant 95% de la population mondiale et fondée sur les données de 2004, montre que des progrès ont été accomplis depuis le début du millénaire en vue d’un approvisionnement en sang qui soit à la fois meilleur et mieux sécurisé. Un des indicateurs de l’enquête était l’application du don de sang volontaire non rémunéré qui reste le fondement des recommandations de l’OMS pour un approvisionnement sûr et suffisant.
En 2004, 50 pays ont atteint un niveau de 100% de dons de sang volontaires non rémunérés contre 39 en 2002. Trois des 11 nouveaux pays qui ont rejoint ce groupe font partie des pays les moins avancés. De plus en plus de pays adoptent le don de sang volontaire. En 2002, 63 pays couvraient moins de 25% de leurs besoins grâce à des dons volontaires non rémunérés. Leur nombre a été ramené à 46 en 2004.
Les tests de dépistage d’infections majeures, telles que le VIH/sida, l’hépatite B et l’hépatite C, deviennent plus courants, mais dans de nombreux pays, les indicateurs montrant qu’ils sont effectués en respectant les procédures de qualité restent peu nombreux. Sur 40 pays d’Afrique subsaharienne, 28 n’ont pas encore mis en place des systèmes nationaux de qualité.
(Sources OMS)
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