
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
13 novembre 2007
Vous avez certainement déjà entendu parler du Lyoc... C’est une forme orale de médicament qui se dissout instantanément dans la bouche, au contact de la salive. Sans aucun apport d’eau ! Cette forme galénique, très appréciée pour sa commodité d’emploi, est particulièrement adaptée aux pays en développement confrontés à des difficultés d’assainissement.
« Où que vous soyez, si vous avez un produit disponible sous la forme de Lyoc, vous n’avez besoin ni d’eau, ni de quoi que ce soit pour l’avaler », précise Alain Aragues, le Président de Cephalon Europe qui a mis au point la formulation en Lyoc. Une souplesse d’utilisation précieuse, aux nombreux avantages. Tout d’abord, elle sécurise la prise du médicament puisqu’il est absorbé sans prise d’eau. Ce qui entraîne une réduction des risques de maladies diarrhéiques, qui font plusieurs millions de morts chaque année en Afrique. Autre point fort du Lyoc : une meilleure efficacité du médicament. « C’est ce que l’on appelle un “produit d’attaque”, car il augmente la disponibilité » du principe actif poursuit Alain Aragues. Résultat, le Lyoc permet de réduire les dosages... pour une efficacité identique.
Facile à administrer, il améliore l’observance. C’est particulièrement vrai pour les patients qui souffrent de difficultés à la déglutition, comme les personnes âgées. Mais également pour les tout-petits... Anti-douleurs, anticancéreux, anti-arthrosiques, antibiotiques... La demande dans le monde ne cesse de croître. Du coup, Cephalon vient d’inaugurer à Nevers en France une nouvelle unité de production et de conditionnement. Plus de 33 millions de Lyoc en sortiront tous les ans...
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