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Destination santé
29 novembre 2011
Les bars à sourires proposent de nous blanchir les dents en quelques minutes et à moindres frais. Or, selon Alain Moutarde, chirurgien-dentiste et président de la Commission de la vigilance et des thérapeutiques au Conseil national de l’Ordre, cette démarche, même si elle n’a qu’une visée esthétique, « doit être encadrée par un professionnel de santé ». Pour les tenanciers de bars à sourire, la démarche est cosmétique. Pour la profession dentaire, en revanche, c’est une intervention à caractère médical, car portant sur un milieu sensible : la bouche. Le réseau de franchisés “Point Sourire” dénonce un « complot » qui serait ourdi par l’Ordre national des chirurgiens-dentistes.
Cosmétique ou pas, un examen attentif de la bouche est conseillé avant toute application de produits de blanchiment. « Un professionnel formé pourra donner les indications, voire les contre-indications de cette pratique et gérer les conséquences s’il y en a », assure le Dr Moutarde. En fait, le problème réside dans la concentration des produits utilisés pour ces opérations : le perborate de sodium et le peroxyde d’hydrogène.
Selon une directive européenne, ces derniers ne peuvent présenter une concentration supérieure à 0,1% lorsqu’ils sont utilisés dans les bars à sourire. Or, selon le Dr Alain Moutarde, « à de telles concentrations, les effets d’éclaircissement de six à huit teintes promis (par certains bars à sourire, n.d.l.r.) sont impossibles. D’ailleurs, certains établissements font de la publicité en disant qu’ils utilisent des produits beaucoup plus concentrés, de l’ordre de 30% environ ! ». Les chirurgiens-dentistes, pourtant autorisés à utiliser des concentrations très supérieures, assurent ne pas pouvoir promettre de gains supérieurs « à une ou deux teintes ».
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