
Politique du handicap outre-mer : faux départ et course de fond
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26 décembre 2008
« En matière de jeux vidéos, bannissons absolument le mot “addiction” de notre vocabulaire ». Ces propos pour le moins iconoclastes ont été tenus récemment à Nantes par le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron, au cours d’un débat organisé par “l’Observatoire universitaire des médias”. A ses yeux, en effet, nous devons en finir avec les idées reçues concernant les jeux vidéos. Et notamment avec le discours alarmiste d’une partie des médias. « Certains jeux aujourd’hui sont présentés comme la raison même de la violence des jeunes. Or, c’est le climat social qui provoque cette violence », affirme-t-il. Autre poncif à éradiquer, celui selon lequel les jeux seraient antinomiques de l’éducation. « Dans le domaine scolaire, il pourrait être intéressant par exemple de se servir des jeux comme support éducatif auprès des élèves en difficulté. Cela pourrait avoir de nombreux effets bénéfiques sur la pédagogie », enchaîne-t-il.
Serge Tisseron s’élève aussi contre la médicalisation des joueurs excessifs. « C’est aux parents de gérer ce type de problème et de dialoguer avec leur enfant. Ces joueurs, souvent, se réfugient dans le jeu car ils ont été victimes de violence à l’école. Le jeu leur permet de changer de rôle et d’endosser le costume de l’agresseur ». Enfin, notre spécialiste estime que les jeux vidéos participent à la « socialisation des enfants et des adolescents. Ils sont une source de discussions, d’échanges ».
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