
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Destination santé
28 septembre 2012
Chaque année en France, environ 4.000 cas de paludisme — dont une dizaine mortels — sont recensés. « Dans 70% à 80% des cas, ils concernent des migrants de retour d’un séjour dans leur pays d’origine », explique le Pr Eric Caumes, du Centre hospitalier de la Pitié-Salpêtrière à Paris. « Pour diverses raisons, ils n’ont pas suivi les recommandations en cours concernant la chimioprophylaxie du paludisme ». Face à ces échecs de la prévention, ce médecin, également président du Comité des maladies liées aux voyages et des maladies d’importation, se réjouit de l’arrivée d’un nouveau médicament indiqué dans la prise en charge de l’accès palustre. « Sans aucun doute, il sera très utile ».
Soumis à prescription médicale, l’Eurartesim® — c’est son nom — est une combinaison fixe de deux molécules : la dihydroartémisinine et la piperaquine. Il est indiqué dans le traitement du paludisme dû à P. falciparum — le principal parasite en cause — lorsqu’il est « non compliqué ». Autrement dit, sans complications graves — neurologiques notamment — engageant le pronostic vital. Soumis à prescription médicale, ce traitement est disponible en pharmacie hospitalière, mais aussi, ce qui est novateur, dans les officines de ville.
« Il s’agit d’un dérivé de la pharmacopée chinoise qui devient enfin accessible aux pays occidentaux », poursuit le Pr Caumes. Celui-ci n’hésite pas à parler de « révolution thérapeutique ». D’une part, « c’est un médicament nouveau, et en infectiologie, c’est plutôt rare ces dernières années ». Et d’autre part, « il est bien plus rapidement efficace que les autres médicaments disponibles. Ce qui est très important dans la prise en charge d’une maladie qui, en quelques heures seulement, engage le pronostic vital ».
©Agence de Presse Destination Santé-2012
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