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Destination santé
4 juillet 2008
Il est aujourd’hui possible de prédire l’évolution de la polyarthrite rhumatoïde et surtout... de la freiner. Au cours des deux premières années, en effet, cette maladie provoque des érosions osseuses chez près de 9 patients sur 10. A terme, elles aboutissent à des déformations qui entraînent des handicaps majeurs. Or, s’il est mis en place dès les premiers mois, un traitement de fond permet de limiter, voire de prévenir ces destructions.
Pour autant, tous les traitements ne sont pas égaux. Contrairement aux traitements de fond conventionnels dont le méthotrexate est le chef de file, les biothérapies - les plus connues étant les agents anti-TNF - sont les seules à stopper les érosions radiologiques. C’est pourquoi, il est essentiel que la maladie soit diagnostiquée au plus tôt. Grâce à cela, il est possible d’adapter la prise en charge, et de limiter le risque de déformations articulaires.
« Des marqueurs pronostics permettent aujourd’hui de prédire l’évolution de la polyarthrite rhumatoïde. Et donc de cibler les traitements », rassure René-Marc Flipo, professeur de rhumatologie au CHRU de Lille et spécialiste des rhumatismes inflammatoires chroniques. « Les plus importants sont la présence d’auto-anticorps, (le facteur
rhumatoïde, et les anticorps anti-CCP) et l’existence de signes radiologiques ». Autrement dit, des signes visibles à la radio ou biologiques.
Pour René-Marc Flipo, « si un patient pense souffrir d’une polyarthrite, il ne doit surtout pas hésiter à consulter le plus tôt possible. C’est d’ailleurs ce que recommande la Haute Autorité de Santé. Il faut absolument dédramatiser cette maladie. D’ailleurs, seuls 15% à 20% des patients développent des formes sévères. Et les traitements dont nous disposons désormais sont vraiment efficaces ».
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