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Destination santé
31 octobre 2012
Pour le Pr Carle Paul , dermatologue au CHU de Toulouse, c’est une évidence : « le psoriasis a un retentissement important sur la qualité de vie des patients. Un impact comparable à celui de maladies réputées plus graves ». D’ailleurs selon un travail qu’il vient de mener, de nombreux malades se disent découragés, et se sentent stigmatisés. Résultat, alors que de nombreux traitements sont disponibles, beaucoup de patients s’excluent du système de soins.
Le psoriasis est une maladie chronique qui affecte la peau et d’emblée, le Pr Paul s’inscrit en faux contre une idée reçue trop vivace. « Ce n’est pas une affection contagieuse ». Au quotidien, il constate que « le poids de la maladie est considérable. Elle entraîne des sentiments de stigmatisation, une mauvaise perception de soi, et elle a parfois des conséquences dramatiques sur le plan familial, social, professionnel. Les malades auront tendance à cacher leur corps ». Isolés, certains ne sortent plus de chez eux.
Ramener le malade au soin
Au cours d’un travail mené pour la Société française de dermatologie, il s’est intéressé à des patients souffrant d’un psoriasis modéré à sévère, suivis dans certains centres hospitaliers français. Objectif, comprendre pourquoi le délai avant la prise en charge thérapeutique est parfois si long. « Nous leur avons simplement demandé depuis combien de temps leur psoriasis n’était pas contrôlé » explique-t-il. Et les réponses ont été pour le moins, surprenantes. « Certains n’avaient même pas vu de médecin depuis plus de cinq ans ! Nous sommes face à des malades isolés, totalement découragés, sortis du système de soins avec un psoriasis qu’ils cachent » déplore le Pr Paul.
C’est d’autant plus dommageable que la prise en charge a considérablement évolué ces dernières années. « Nous disposons aujourd’hui d’un éventail de traitements très important, que l’on adapte à chaque patient. Il est indispensable que les malades retournent voir un dermatologue, en coordination bien sûr avec leur médecin traitant. Ensemble, ils envisageront une solution, car il en existe toujours une ».
Aller plus loin : Association pour la lutte contre le psoriasis (APLCP) : 01 42 39 02 55 ou [email protected]. - www.aplcp.org.
©Agence de Presse Destination Santé-2012
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