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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Destination santé
6 février 2009
Il n’est pas normal que des malades soient privés de traitements capables d’améliorer leurs conditions de vie alors qu’ils sont accessibles chez nos voisins. C’est pourtant le cas, dans bien des domaines. « Dans les pathologies les plus fréquentes », soulignent les responsables du Cercle de Réflexion de l’Industrie pharmaceutique (CRIP), « l’efficacité à court terme est déjà obtenue par les médicaments actuellement existants. Le véritable enjeu, c’est d’améliorer des bénéfices secondaires mais importants. Cet enjeu n’est pourtant plus pris en considération par les autorités françaises dans l’évaluation des nouveaux médicaments ».
Qui sont ces malades ? Des hypertendus, dont 50% abandonnent leur traitement au bout d’un an à cause de ses effets secondaires. Ils courent ainsi un risque considérable d’accident vasculaire cérébral. Des millions d’insomniaques sont réduits à “se faire dormir” à coups d’hypnotiques entraînant une dépendance, des troubles de la mémoire ou de la vigilance. Les parkinsoniens sont également très affectés par cette situation. Efficaces à court terme, les traitements apportent un soulagement partiel, irrégulier ou assorti d’effets secondaires délétères : hallucinations, comportements de jeu compulsif... Asthme, douleur, incontinence urinaire, diabète... les exemples sont légion.
Aujourd’hui, explique l’économiste Claude Le Pen (Université Paris-Dauphine), le seul critère de fixation des prix de remboursement reconnu en France est celui de l’efficacité clinique. Présidente du CRIP qui regroupe 17 laboratoires français et européens, Marie-Laure Pochon appelle « à ce que la tolérance, la sécurité, la simplicité de prise, l’observance des nouveaux traitements soient également pris en compte, évalués et reconnus ».
En attendant ce changement, les malades n’ont d’autre ressource que de supporter des thérapeutiques affectées de graves inconvénients ou de se procurer les médicaments innovants dans un autre pays de l’Union... et à leurs frais. Des dizaines de milliers de parkinsoniens par exemple, pourraient voir leur vie transformée. Comme le souligne le Pr Philippe Damier, neurologue au CHU de Nantes, « trois médicaments existent pour ce faire. Ils sont remboursés dans 23 pays d’Europe mais pas en France ». Ceux qui peuvent se les offrir hors des frontières doivent en assumer les frais : environ 100 euros par mois et par malade.
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