
Kèl volonté zénéral ! In pé la boir kossa !
30 juin, parMézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Destination santé
2 décembre 2011
Contrairement à l’hypertension artérielle dont les victimes savent bien qu’elle est un facteur de risque d’accident vasculaire cérébral (AVC), la fibrillation auriculaire (FA) suscite moins de crainte. Pourtant, les attaques provoquées par cette maladie, qui frappe surtout après 60 ans, sont très sévères. Vraisemblablement davantage que celles dues à d’autres facteurs de risque…
La fibrillation auriculaire, en fait, est le plus fréquent des troubles du rythme cardiaque. Caractérisée par des battements rapides et irréguliers des oreillettes, elle voit son incidence augmenter avec l’âge. Sa principale complication est l’embolie artérielle : comme les oreillettes se contractent de façon plus ou moins anarchique, du sang peut y stagner, entraînant la formation de caillots que l’on appelle un thrombus. Expulsé des cavités cardiaques, ce thrombus part dans la circulation générale. Il est alors susceptible de migrer jusqu’au cerveau. C’est ainsi qu’il peut provoquer une « attaque cérébrale ».
Le chemin emprunté par ces caillots passe le plus souvent par une grosse artère. La carotide, par exemple, qui remonte le long du cou jusqu’au cerveau. « Pour cette raison, nous observons généralement que la taille des AVC liés à la FA est plus importante », nous explique le Pr Ariel Cohen, chef du service de cardiologie de l’hôpital Saint-Antoine, à Paris. « Les patients sont aussi plus exposés au risque d’embolies multiples récidivantes ». D’une manière générale, leur niveau de risque est de trois à cinq fois plus élevé que celui des autres patients.
Mais ce n’est pas tout. A cause des battements désordonnés qu’elle entraîne, la FA diminue également l’efficacité du cœur. Celui-ci effectue donc moins bien son travail de pompage. « Certains symptômes doivent être considérés comme des signes d’alerte », souligne Ariel Cohen. « Une fatigue inexpliquée, des palpitations, un essoufflement persistant, voire des douleurs thoraciques par exemple, viennent en tête des signes qui doivent inciter à consulter ».
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