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24 juillet 2008
Hauts-de-Seine : une jeune femme de 30 ans contracte le virus du chikungunya
Une habitante de Gennevilliers, dans les Hauts-de-seine a contracté le virus du chikungunya, sans avoir quitté le territoire hexagonal.
Cette jeune femme de 30 ans, présente tous les symptômes du virus : douleurs articulaires, fièvres, maux de tête, irruption cutanée, fatigue.
Sur RTL, elle raconte : « J’ai cru que c’était une maladie infantile au début. Je ne me suis pas inquiétée. J’ai laissé passer. Mais je me suis sentie de plus en plus fatiguée, avec de la fièvre. Parfois j’avais l’impression d’avoir couru un marathon la veille. Je me réveillais avec des courbatures, mal partout... »
Les analyses effectuées sur elle, n’ont fait que confirmer qu’elle était atteinte du virus.
Mais le mystère reste entier sur la manière dont elle a bien pu attraper cette maladie. « Mon ami travaille à Rungis dans les fruits et légumes donc cela peut venir de cageots de fruits exotiques... mais je ne sais pas et tout le monde est surpris que je puisse avoir le chikungunya ! », s’étonne Hélène sur RTL.
En 2006, l’île de La Réunion avait été touchée par une épidémie de chikungunya. Près de 40% de la population de l’île l’avaient attrapé.
Rappelons que le chikungunya est une maladie due à un virus transmis par un moustique.
“Le Post”
Suspicion de chikungunya en région parisienne
On saura aujourd’hui si le chikungunya a contaminé, pour la première fois, une personne en Ile-de-France. Hier soir (mardi - ndlr), des analyses étaient toujours en cours pour savoir si une femme de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), âgée d’une trentaine d’années, était atteinte de la "maladie de l’homme courbé". « Pour l’instant, ce n’est qu’une suspicion concernant une dame qui a, depuis quelque temps, des symptômes semblables à une grosse grippe », explique-t-on prudemment au ministère de la Santé.
Si ce cas est avéré, ce ne serait cependant pas le premier dans l’Hexagone. Depuis l’hiver 2006, lors duquel l’"Aedes albopictus", moustique responsable du "chik", avait touché 40% de la population de l’île de la Réunion, des diagnostics ont été faits en métropole. « Mais nous n’avons jamais eu de cas autochtones. A part à La Réunion, les Français qui ont attrapé le chik l’ont contracté à l’étranger », souligne Antoine Flahaut, spécialiste de cette pathologie. Or, la patiente francilienne affirme ne pas avoir quitté le territoire depuis plusieurs mois.
« Le moustique tigre n’est pas présent dans la capitale et les départements franciliens »
Toutefois, samedi, Roselyne Bachelot avait donné l’alerte elle-même lors d’une visite à Nice (Alpes-Maritimes), la ministre jugeant qu’une épidémie de "chik" en France était une réelle menace. « Cela ne concerne que quatre départements où le moustique a été repéré », tempère le docteur Flahaut. « Les Alpes-Maritimes, la Corse-du-Sud, la Haute-Corse et le Var. L’Ile-de-France ne fait, pour l’instant, pas partie de la liste. »
« Nous sommes formels. Le moustique tigre n’est pas présent dans la capitale et les départements franciliens », confirme le ministère de la Santé. La malade s’est peut-être rendue sur la Côte d’Azur ? Ou peut-être n’a-t-elle qu’une... grosse grippe, dont les symptômes sont très proches du chik (fièvre, maux de tête, courbatures). « Les probabilités pour qu’un moustique tigre se soit trouvé à Gennevilliers, puis qu’il ait piqué un malade du chik, qu’il ait survécu et, enfin, se soit attaqué à cette dame sont très faibles », analyse, pour sa part, Didier Fontenille, entomologiste de l’Institut de recherche pour le développement de Montpellier.
Dernière hypothèse : un "Aedes albopictus" porteur du virus se serait glissé dans un avion arrivant en Ile-de-France. « Il y a une douzaine d’années, le paludisme a ainsi été transmis à plusieurs personnels d’aéroport. Mais aujourd’hui, les avions sont tous désinfectés », commente Didier Fontenille.
“Le Parisien Libéré”
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