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Destination Santé
22 mai 2021
Maladie chronique affectant le système nerveux central, la sclérose en plaques (aussi appelée SEP) se caractérise par de multiples symptômes. Si certains sont visibles, notamment au niveau de la motricité, d’autres moins visibles affectent ce que les spécialistes appellent la santé cognitive. A l’occasion de la Journée mondiale de la SEP le 30 mai, les explications du Pr Bruno Brochet, neurologue, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux.
En France, plus de 100 000 patients vivent avec la sclérose en plaques. Et 4 000 à 6 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Elle constitue la première cause de handicap sévère non traumatique chez les jeunes adultes. Car en effet, cette maladie frappe une population jeune et à prédominance féminine. Elle se déclare généralement à 30 ans et touche 1 homme pour 3 femmes [1].
La sclérose en plaques se caractérise par des symptômes très hétérogènes d’un patient à l’autre. Ils peuvent aussi fortement évoluer au cours de la maladie. De manière générale, les patients risquent de présenter des troubles moteurs au niveau des membres supérieurs et/ou inférieurs affectant la marche. Les spécialistes évoquent également des troubles de la sensibilité (engourdissement, fourmillements, douleurs…), des symptômes visuels, des troubles de l’équilibre. Sans oublier les conséquences parfois importantes concernant la mémoire, la concentration, l’attention, ce que l’on appelle les troubles cognitifs.
Selon le Pr Bruno Brochet [2], « ces troubles sont caractérisés par un ralentissement dans les tâches cognitives : hiérarchiser les informations, les décrypter, passer d’une information à l’autre. Des études ont montré que cela avait un impact considérable au niveau professionnel, avec notamment des pertes d’emploi. On parle également de légers troubles de la mémoire et de l’attention. Sans oublier des difficultés au niveau de la perception des émotions d’autrui ce qui complique les relations sociales. »
La sclérose en plaques peut être « rémittente » ou « progressive d’emblée ». « La première (85% des patients) survient en général vers la trentaine et concerne 4 femmes pour 1 homme », précise le Pr Brochet. « Elle se caractérise par une poussée de la maladie accompagnée de troubles neurologiques, visuels, de la sensibilité et de difficultés motrices. Au bout de quelques semaines, ces symptômes vont s’estomper, puis d’autres poussées vont survenir. Quant à la forme dite progressive d’emblée, elle touche autant les hommes que les femmes vers 40-50 ans. Difficultés liées à la marche, raideur dans les membres inférieurs, troubles de l’équilibre. Autant de symptômes qui vont apparaître de façon insidieuse entraînant une paralysie des membres. »
Baptisée Mindsep, une étude initiée par Celgene-Bristol Myers Squibb company s’est justement intéressée aux troubles cognitifs des patients [3]. Au total, 89 neurologues et 174 patients ont été interrogés. « Il en ressort que ces troubles assez méconnus dans le passé, sont de mieux en mieux identifiés. Ainsi 70% des neurologues disent aborder régulièrement cette question. Il persiste toutefois une méconnaissance des patients, car seuls 49% savent à quoi correspondent vraiment ces symptômes. »
Autre conclusion, leur fréquence serait sous-évaluée. « En effet les neurologues estiment que 25% de leurs patients souffrant d’une forme rémittente présentent des difficultés cognitives. Or dans les études scientifiques, cette fréquence s’établit plutôt à 40%. Cela s’explique par le fait que le médecin prend en compte ces troubles quand il y a une plainte du patient. Pour autant, ce dernier n’a pas forcément conscience qu’il s’agit d’une conséquence de sa maladie. Il attribue cela à la fatigue, au stress, à l’anxiété. »
Pour en savoir plus : http://www.ligue-sclerose.fr/
© Agence Destination Santé
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