
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
13 août 2008
Des chercheurs américains auraient mis en évidence une relation directe de cause à effet entre la consommation importante de soja dans l’alimentation et la diminution « significative » de la concentration des spermatozoïdes dans le sperme. Naturellement, il y en a que la nouvelle ennuie... Les responsables ne seraient autres que les isoflavones, les principaux flavonoïdes du soja. Ils sont réputés certes pour leurs effets cardiovasculaires favorables, pour leur rôle dans le maintien du capital osseux, voire pour leurs propriétés anti-cancéreuses, même si elles sont encore imparfaitement - et très incomplètement - prouvées... Mais dans le domaine de la reproduction, ils cachaient bien leur jeu !
Jusqu’au jour où une équipe de Boston s’est penchée sur les habitudes alimentaires de 99 hommes qui souffraient de troubles de la fertilité. Suivis pendant 6 ans, la majorité d’entre eux raffolait de soja. « Nous avons établi un lien direct entre sa consommation et la baisse de la fertilité », précisent les auteurs. Un lien direct facilement décelable, puisque pour les plus grands mangeurs de soja, « la concentration des spermatozoïdes dans le sperme (41 millions par millilitre) s’est révélée au moins deux fois moins élevée que la normale, qui oscille entre 80 et 120 millions par millilitre » ! L’explication ? Les isoflavones sont en fait des phytœstrogènes, autrement dit, des hormones féminines naturelles, d’origine végétale. Or, en augmentant l’activité œstrogénique dans l’organisme, ces derniers pourraient diminuer la concentration du sperme en spermatozoïdes. Et donc sa fertilité, même si l’hypothèse doit encore être confirmée.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)