Inconfort, pertes, irritations, démangeaisons...

Un nouveau traitement au cœur du problème

1er avril 2008

Le vagin est colonisé en permanence par des “bons micro-organismes (lactobacilles protecteurs) et par des “mauvais” micro-organismes (bactéries et champignons) qui peuvent provoquer des maladies. En temps normal, la flore vaginale saine est le reflet de l’équilibre entre les “bons” et les “mauvais” micro-organismes, ce qui évite les infections. Les lactobacilles protecteurs empêchent les “mauvais” micro-organismes de se développer, entraînant ainsi des signes d’inconfort (irritations, démangeaisons, pertes...), voire des infections dont les plus courantes sont les mycoses et les vaginoses.

L’équilibre de l’écosystème vaginal, dont les lactobacilles sont les principaux acteurs, est essentiel, car il constitue le principal élément de défense contre les infections génitales. Parmi les différents mécanismes de défense qu’ils développent, ils sont capables de former un film protecteur (biofilm) tapissant la muqueuse vaginale et protègent ainsi le milieu contre l’agression de micro-organismes responsables d’infections diverses.
Lorsque ce fragile équilibre est perturbé, il va entraîner une diminution des “bons” micro-organismes (lactobacilles protecteurs), d’où une prolifération des “mauvais” micro-organismes potentiellement pathogènes. Apparaissent alors des manifestations locales désagréables, telle qu’une gène, des douleurs, des démangeaisons, des irritations ou des écoulements, voire des infections vaginales à répétition.

Nous savons aujourd’hui que différents facteurs peuvent être la cause de ce déséquilibre :

- Les traitements par antibiotiques : les lactobacilles protecteurs de la flore vaginale y sont très sensibles et l’on constate souvent une augmentation du risque d’infections.

- Les spermicides sont toxiques pour les lactobacilles protecteurs et favorisent donc aussi les infections.

- Le tabac : depuis plusieurs années, de nombreuses études scientifiques ont été publiées qui démontrent le rôle majeur du tabac sur les lactobacilles protecteurs. Chez les fumeuses, le risque d’infections est multiplié par 2,5 !

- Les douches vaginales sont à proscrire car elles entraînent un déséquilibre de la flore vaginale
Toutes ces raisons amènent à penser qu’une approche de traitement plus “naturelle” doit être envisagée lors des épisodes d’infections, mais également en préventif de façon à maintenir une flore vaginale saine, capable de jouer son rôle de défense.

Aujourd’hui, nous disposons de produits “naturels” appelés probiotiques qui sont en fait des lactobacilles protecteurs qui pourront être utilisés de manière à rééquilibrer une flore vaginale défaillante et limiter tous les désagréments. Les probiotiques ont prouvé leur efficacité et font l’unanimité dans la communauté scientifique, en particulier dans le traitement des infections récidivantes. Ils ont un véritable rôle thérapeutique grâce aux nombreux modes d’action qu’ils sont capables de mettre en marche pour empêcher le développement des “mauvais” micro-organismes.
Il est donc fortement conseillé de faire des cures de probiotiques :

- soit en préventif dès que se présentent des signes d’inconfort qui traduisent une flore vaginale en mauvais état,

- soit en complément d’un antibiotique dans le traitement des infections génitales (mycoses, vaginoses...).

Comment choisir le “bon” probiotique ? Il doit répondre à trois critères majeurs :

- la qualité des lactobacilles. En effet, il existe différentes espèces de lactobacilles, il faudra choisir les plus efficaces,

- la quantité de lactobacilles doit être suffisante,

- la voie d’administration doit être de préférence vaginale pour une action directe au niveau du vagin.

Quel meilleur vecteur qu’un tampon vaginal thérapeutique pour traiter du déséquilibre de la flore vaginale !
C’est un concept novateur qui est issu de la recherche universitaire gynécologique et bactériologique scandinave et qui a rencontré un immense succès en suède depuis 2002.

FLORGYNAL Tampon® est un tampon protecteur et régulateur de la flore vaginale imbibé de lactobacilles naturels qui rééquilibrent la flore en recréant son état physiologique. C’est donc un probiotique naturel lyophilisé destiné aux femmes qui présentent des problèmes gynécologiques : pertes, irritations vaginales, infections récidivantes comme les vaginoses et vaginites.
Comme le confirment les résultats d’une étude suédoise récente, l’utilisation d’un probiotique associé à un antibiotique permet de doubler le taux de guérison clinique et biologique des infections (vaginoses), puisqu’il passe de 40 à 88%.
L’intérêt majeur réside dans le fait que la diffusion des lactobacilles autour du tampon permet une excellente répartition sur la muqueuse vaginale, garante d’un développement rapide et harmonieux rééquilibrant ainsi la flore vaginale de manière optimale.

FLORGYNAL Tampon® va faciliter la vie des femmes utilisatrices. Ce probiotique s’utilise tout simplement à la place et comme leur tampon habituel avec les mêmes gestes à chaque cycle, ce qui entraîne une vraie révolution de la vie des femmes et améliore leur qualité de vie au quotidien.
Elles se traitent “sans y penser”, d’où une observance parfaite du traitement et sans les désagréments des traitements locaux tels que les gélules ou les ovules, assurant ainsi une excellente tolérance.

FLORGYNAL Tampon® doit être utilisé au moment des règles pendant au minimum 3 périodes de règles consécutives ou en cure de plusieurs mois en préventif.

Appliqué directement dans le milieu à rééquilibrer, il est efficace dès le premier épisode de l’infection. Les lactobacilles ainsi libérés vont être capable de fabriquer le biofilm protecteur empêchant le développement des “mauvais” micro-organismes.

FLORGYNAL tampon se décline en plusieurs tailles.
Ce traitement est vendu exclusivement en pharmacie au prix de 10 euros la boîte de 12.

Pour plus d’informations : www.groupeiprad.com ou www.groupeiprad.com/florgynal

Medical Technology Consulting


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