
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Destination santé
2 mars 2010
En France, une femme sur cinq oublie de prendre sa pilule au moins une fois par mois ! La contrainte de la prise quotidienne explique en partie ces oublis fréquents. Aujourd’hui, d’autres méthodes contraceptives modernes, moins contraignantes et plus adaptées au mode de vie des jeunes filles sont disponibles. Le problème c’est que les jeunes femmes ne sont pas assez informées en matière de contraception. C’est ainsi que les méthodes les plus récentes comme le patch contraceptif ne sont pas encore assez connues. Pour le Dr Alain Tamborini, gynécologue à l’hôpital européen Georges Pompidou (Paris), le patch présente de nombreux avantages. « Il se porte pendant sept jours. Mais le gros plus, c’est que si la femme oublie de le changer au bout de sept jours, elle bénéficie d’une marge de sécurité avec 48 heures d’efficacité supplémentaire ». Un vrai confort… « Ne nécessitant qu’un geste hebdomadaire, le patch contraceptif représente une option originale pour toutes les jeunes femmes qui ne veulent pas penser tous les jours à la prise de la pilule ». Autre avantage, cette contraception se voit, un atout non négligeable pour la femme et pour son partenaire qui se sent ainsi rassuré.
Côté pratique, « le patch se porte pendant une semaine, 3 semaines de suite, suivies d’une semaine sans patch (possibilité de retarder les règles en enchainant 6 semaines de patchs). De couleur chair, il mesure 4 cm de côté, se colle sur le bras, les fesses, le dos, le bas du ventre… Sa colle thermique garantit sa très bonne adhésivité et son étanchéité (douche, bain, sport…). Son mode d’action et son efficacité sont exactement les mêmes que la pilule contraceptive. Les hormones de synthèse bloquent l’ovulation, agissent sur la glaire cervicale et rendent la muqueuse utérine impropre à la nidation ».
Pourtant, ce mode de contraception très prisé chez nos voisins européens et aux Etats-Unis est encore peu utilisé en France. « Je crois que beaucoup de gens ne le connaissent pas. C’est principalement dû à un manque d’information », estime le Dr Alain Tamborini. Le “tout pilule” qui prévaut en France explique cet état de fait. D’où l’importance d’informer les jeunes femmes sur l’ensemble des moyens contraceptifs afin qu’elles puissent choisir le contraceptif le plus adapté à leur mode de vie.
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