
Turbulence à la Mairie de Saint-André
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Destination santé
17 juin 2009
Selon une enquête internationale auprès de 3.000 patients séropositifs au VIH, la discrimination ne faiblit pas. L’étude ATLIS pour AIDS Treatment for Life International Survey, montre en effet que 54% des patients refusent de rendre publique leur séropositivité. Pour 83% d’entre eux, cette attitude est dictée par la crainte d’une stigmatisation sociale ! Bien que de réels progrès aient été réalisés en termes d’information et d’éducation du public, les tabous liés au VIH/SIDA persistent. A tel point que plus de quatre sondés sur dix, ont estimé que l’annonce de leur séropositivité pourrait avoir des répercussions allant jusqu’à la rupture de relations familiales et/ou amicales. Le tiers des répondants, par ailleurs, se sont dits inquiets pour leur avenir professionnel. Ils ont également exprimé la crainte de voir leur réputation mise à mal...
Côté traitements, c’est la peur des effets secondaires qui domine. Un patient sur quatre refuse même de se traiter pour ce motif, et cette proportion peut atteindre 42% chez les malades européens. Certains (34%) sont si préoccupés par les effets secondaires liés à leur traitement, qu’ils préfèrent carrément l’arrêter. Globalement, ces patients redoutent la modification de leur silhouette et de leur visage (58%), l’apparition de troubles gastro-intestinaux (54%), d’un état de fatigue (54%) et enfin de troubles hépatiques (54%).
Toutes ces craintes traduisent en fait, un manque criant d’information… Près de 70% des patients souhaiteraient davantage d’information sur l’infection à VIH et ses traitements. Plus grave, un quart des malades interrogés a reconnu avoir des relations sexuelles non protégées.
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Messages
17 juin 2009, 15:06, par georges
La stigmatisation est une réalité, car meme des Etats en encouragent, à l’image des pays qui refusent l’entrée et l’installation sur leur sol des personnes vivants avec le vih. Si des Etats encouragent la stigmatisation, comment voulez vous que les sociétés fassent autrement ?
Je profite par l’occasion pour feliciter les Etats qui reconnaissent aux personnes infectées par le vih, leur dignité humaine et facilite leur circulation ; je cite, les pays de l’Union européennes, en particulier la Belgique !
Cotés traitement, ils sont lourds,personnellement je suis sous traitement. Personne n’aurai voulu un tel traitement si ce n’est pour prolonger la survie !
Nous encourageons les Etats consciencieux à continuer à soutenir les chercheurs pour qu’ils nous mettent au point des medicament assez facile à prendre et moins couteux.