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Destination santé
17 mai 2011
Les corps des victimes du vol Rio/Paris commencent à peine à être remontés à la surface. Au-delà du travail d’identification, les médecins légistes vont aussi s’attacher à élucider les causes de la mort des passagers et du personnel de bord. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, elles ne sont pas forcément dues à la seule violence du crash. Explications du Dr Renaud Clément, médecin légiste au CHU de Nantes.
« Nous distinguons trois grandes causes de décès liées à un crash en mer : le traumatisme direct lié à l’accident donc mais aussi l’asphyxie, et la noyade », souligne-t-il.
Le traumatisme lié à au choc. A l’image d’un accident de voiture, la mort peut survenir au moment de l’impact ou juste après. Dans le cas présent, lors du contact avec l’eau. Le médecin peut alors se baser sur un examen externe à la recherche de chocs éventuels. L’accident peut aussi provoquer une hémorragie interne. Enfin, le légiste prendra le plus grand soin à examiner l’état osseux ;
L’asphyxie respiratoire. Elle est due à la dépressurisation. « Le passager n’aura sans doute pas eu le temps d’utiliser son masque à oxygène et aura perdu connaissance », indique Renaud Clément. « A l’occasion de l’autopsie, les signes d’une asphyxie sont difficiles à reconnaître. Nous en arrivons à cette conclusion lorsque les autres hypothèses ont été écartées » ;
La noyade. Elle survient le plus souvent lorsque le passager n’a pas réussi à s’extraire de son siège ou de la cabine. « Dans le cas d’une noyade récente, les poumons sont gorgés d’eau », continue le Dr Clément. « Concernant le crash du vol Rio/Paris, les corps sont restés immergés pendant près de deux ans. Les poumons se sont sans doute transformés. Ils sont devenus froids et surtout ils se sont fortement rétractés, à l’image d’une éponge. Dans ce type de circonstances, la noyade comme cause certaine de la mort est alors difficile à établir ».
L’accident cardiaque peut il expliquer le décès ? « Le stress intense engendré par la chute de l’avion, et le fait de se voir mourir peut en effet entraîner un arrêt cardiaque », souligne Renaud Clément. Il ajoute toutefois, que « ce cas de cas de figure reste extrêmement rare ».
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