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Dramatique bilan fait par l’OIM
4 janvier 2020
L’Organisation internationale des migrations a publié hier le dramatique bilan des traversées clandestines en direction de l’Europe par la Méditerranée. Au moins 2500 personnes ont perdu la vie en raison des restrictions à la circulation imposées par les gouvernements de l’Union européenne. Ce bilan intolérable donne une idée de la tragédie qui se joue quotidiennement entre Anjouan et Mayotte à cause de l’aventure comorienne du gouvernement français qui se poursuit depuis 1975. En obligeant les habitants de toutes les îles comoriennes sauf Mayotte à disposer d’un visa pour venir à Mayotte, la France est responsable de la mort de milliers de personnes depuis 1995. Mais à la différence de la Méditerranée, ces noyades ont lieu bien loin des côtes européennes, des médias et des organisations onusiennes.
L’Organisation internationale pour les migrations a signalé hier que 110 669 migrants et réfugiés sont entrés en Europe par voie maritime au cours de l’année qui vient de se terminer. C’est la sixième année consécutive qu’au moins 100 000 arrivées ont été enregistrées sur trois routes de la mer Méditerranée. Le total n’est que légèrement inférieur aux 116273 hommes, femmes et enfants qui ont ainsi traversé la Méditerranée en 2018, soit une baisse d’environ 5%.
Les décès enregistrés sur les trois principales routes de la mer Méditerranée en 2019 sont de 1 283 personnes, soit environ 44% des 2 299 décès confirmés au cours de la même période en 2018. La Méditerranée a coûté la vie à au moins 19 164 migrants depuis 2014.
Comme depuis 2014, la route centrale de la Méditerranée entre l’Afrique du Nord et l’Italie reste le couloir le plus meurtrier de la région. Les chercheurs de Missing Migrants Project estiment qu’une personne sur 33 est décédée en tentant de traverser la Méditerranée centrale en 2019, contre une sur 35 en 2018 et une sur 51 en 2017.
Bien que le nombre de décès enregistrés soit passé de 2 299 en 2018 à 2 183 en 2019 auquel s’ajoute celui des personnes portées disparues. En effet, ces chiffres n’incluent pas un nombre croissant de naufrages encore à confirmer, selon les données collectées par le Missing Migrants Project de l’OIM, basé au Global Migration Data Analysis Center de l’OIM. (GMDAC) à Berlin, Allemagne.
Autrement dit, les chiffres de cette année ne reflètent pas pleinement les nombreux bateaux fantômes qui ont disparu en Méditerranée en 2019, totalisant au moins 413 personnes perdues en mer dont la mort pourrait ne jamais être entièrement vérifiée. Dans ces cas de bateaux fantômes, aucun migrant n’a été secouru en mer au moment des appels de détresse.
Ainsi, alors que le nombre de décès de migrants enregistrés en Méditerranée est en baisse en 2019 par rapport aux années précédentes, les données de l’OIM indiquent que des centaines de vies ont été perdues sans laisser de trace cette année. Ces « bateaux fantômes » - des navires portés disparus en route vers l’Europe pour lesquels aucune preuve tangible ne peut être trouvée - sont devenus de plus en plus fréquents depuis que la présence de recherche et sauvetage d’acteurs européens et non gouvernementaux a diminué à la mi-2017.
L’un de ces bateaux portés disparus transportait au moins 73 personnes et a disparu dans la mer d’Alborán en route vers l’Espagne le 26 novembre, dont 20 femmes et 3 enfants. Un autre bateau a disparu en Méditerranée occidentale en janvier, tandis qu’au moins cinq autres navires ont disparu au large des côtes libyennes en route vers l’Italie. Dans les sept de ces cas enregistrés en 2019 par le Missing Migrants Project, aucun survivant n’a été secouru en mer au moment des appels de détresse.
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