
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La lutte pour le retour aux Chagos bat son plein
1er octobre 2015, par
La lutte des Chagossiens pour le retour aux Chagos a connu ces derniers jours un nouveau temps fort. Lundi dernier, le Groupe Réfugiés Chagos a organisé une belle manifestation devant l’ambassade britannique à Port-Louis, Maurice. Les revendications exprimées par des pancartes portées par les manifestants ont dû parvenir jusqu’à Londres, vu la force de la mobilisation : une présence qui n’a pas faibli depuis 9 heures du matin jusqu’à 4 heures de l’après-midi, avec un roulement d’équipes de femmes et d’hommes tous unis pour crier leur douleur de l’exil et leur refus de l’injustice. Cette journée du 28 septembre 2015 restera comme une date marquante dans la longue histoire de la résistance chagossienne.
Les mots d’ordre qu’on peut lire sur les pancartes ne peuvent que susciter notre solidarité avec la cause des Chagossiens qui se battent avec une détermination admirable : « Nous appartenons aux Chagos et les Chagos nous appartiennent », « Tout être humain a le droit de vivre sur sa terre natale », « Tout ce que nous voulons, ce sont nos droits fondamentaux », « Jour après jour nos aînés disparaissent, HONTE au gouvernement britannique », « Tous les peuples du monde ont leur culture et leurs traditions. Respectez la culture et les traditions des Chagossiens », « Les Chagossiens sont les vrais gardiens de l’environnement des Chagos », « Le temps est venu de laisser les Chagossiens retourner chez eux ! »
Deux jours avant cette manifestation, s’était tenue à Port-Louis une rencontre très importante entre les Chagossiens et le représentant du Foreign Office délégué par le gouvernement de Londres. Quelque 450 personnes ont participé à cette réunion. Olivier Bancoult et nombre de ses camarades ont expliqué avec précision pourquoi ils ne ressentaient que du mécontentement vis-à-vis des conditions que voudrait imposer la Grande-Bretagne pour leur retour aux Chagos. Des conditions inacceptables pour les Chagossiens qui veulent revenir aux Chagos dans un cadre ouvert sur l’avenir et respectueux de leur identité.
Contacté hier soir, Olivier Bancoult a dit attendre avec une grande vigilance les suites des événements. « On va voir la réaction britannique, mais on est prêt à renforcer la mobilisation ».
Alain Dreneau
(Comité Solidarité Chagos La Réunion)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)