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par le Dr Raymond Vergès

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Cilaos : le projet alimentaire territorial soutenu par France Relance

Soutien à un projet de développement solidaire

mercredi 21 avril 2021


France Relance annonce son soutien au Projet alimentaire territorial de Cilaos, qui vise à lutter contre la précarité alimentaire et à développer la production locale.


« À l’heure où la reconquête de notre souveraineté alimentaire est une nécessité, les projets alimentaires territoriaux (PAT), créés il y a 6 ans, favorisent la relocalisation de l’agriculture et de l’alimentation dans les territoires en soutenant notamment l’installation d’agriculteurs, les circuits courts ou les produits locaux dans les cantines. Les PAT jouent un rôle essentiel pour accélérer la transition agricole et alimentaire en rapprochant producteurs, transformateurs, distributeurs, collectivités territoriales et consommateurs.

Le PAT de la commune de Cilaos (La Réunion) permettra de lutter contre la précarité alimentaire et de développer la production locale dans cette zone géographique enclavée : création d’une ferme pilote destinée tant à alimenter la restauration scolaire qu’être un lieu d’expérimentation agronomique, de formation des agriculteurs et de sensibilisation des scolaires. La création d’une « Maison des terroirs » abritant un atelier de transformation agro-alimentaire et un petit atelier d’abattage de volailles mises à disposition des agriculteurs favorisera la transformation locale.

Budget total : 144 000 euros (subvention de l’AAP : 100 000 euros, soit 69%)
Durée : 36 mois »


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Messages

  • La lutte contre la précarité alimentaire territoriale dans le cirque de Cilaos pourrait aussi passer par la construction d’une route pour desservir la forêt de Tapcal et tous les ilets qui se trouvent sous les remparts du cirque du coté Ouest , je pense notamment à l’ilet grand coude , à l’ilet songe et aux ilets source .

    Cette route pourrait partir de la ravine Patience en arrivant à l’ilet à Cordes , pour aller jusqu’au Tapcal , puis descendre sur le grand coude et remonter vers l’ilet source en passant par l’ilet songe . Ce qui permettrait une exploitation de la forêt de Tapcal qui est une grande forêt primaire contenant contenant une quantité importante de bois précieux comme le bois de tamarin et de nombreuses autre espèces rares à la Réunion , et de récupérer soit pour l’exploitation forestière soit pour l’agriculture traditionnelle ou pour la vigne ou les arbres fruitiers les terrains de l’ilet songe et des ilets source bien exposés au soleil .

    Cette nouvelle route pourrait également permettre grâce à un tunnel de deux ou trois kilomètres qui déboucherait dans les hauts de Saint Paul ou de Trois Bassins à environ 1000m d’altitude , d’offrir un autre accès au cirque de Cilaos et d’exploiter au mieux son potentiel touristique extraordinaire .

    Enfin comme il y a de nombreuses sources qui jaillissent des remparts du cirque du côté Ouest, cette nouvelle route reliée par tunnel à la commune de Saint Paul ou de Trois bassins pourrait également permettre de transporter de l’eau potable depuis le cirque de Cilaos vers les hauts de l’Ouest de la Réunion , je dirai même de transporter de l’eau de source prête à être mise en bouteille puisqu’elle peut être captée à la sortie de la montagne .Car si on recueille une partie du débit de la cascade de la vierge vierge qui est captée partiellement pour l’irrigation et la fourniture d’eau potable de l’ilet à cordes , et que l’on rajoute le captage des eaux qui sortent de la montagne du coté de l’ilet source c’est un débit total de ’environ 400 litres par seconde et peut être plus que l’on pourrait avoir pour desservir les hauts de la côte ouest de la Réunion .

    Tous ces avantages cumulés justifient peut être que l’on consacre quelques sous pour étudier la faisabilité de ce projet et s’il est réalisable que l’on trouve l’argent nécessaire pour le réaliser .

    La région Réunion aura du mal à trouver de l’argent pour ce projet puisqu’elle a déjà épuisé toute sa capacité financière dans la nouvelle route du littoral , mais je pense que le département et les communes qui bénéficieront du projet pourront avec l’aide de l’Etat et éventuellement de l’Union européenne trouver les fonds nécessaires pour le réaliser .

    En plus de contribuer au développement économique et social de Cilaos ce projet structurant pourrait donner du travail pendant quelques années à de nombreux chômeurs qui résident à Cilaos ou dans les hauts de l’ouest .

    Signé Joseph Luçay Maillot un z’enfant de l’Ilet à cordes qui n’oublie pas d’où il vient .

  • Le meilleur tracé de ce projet de route pour aller à Cilaos en passant par l’ouest est à définir après des relevés topographiques des meilleurs points de captage des eaux de sources qui jaillissent des remparts du cirque de Cilaos coté Ouest , mais le point de départ du tunnel devrait être situé a environ 1000 m d’altitude sur les bords de la ravine des trois bassins ou de la ravine de Colimaçon qui sont facilement accessibles à partir des deux échangeurs de la route des tamarins qui permettent d’arriver à Colimaçon ou à Trois bassins .

    La distribution de l’eau provenant du cirque de Cilaos nécessitera la construction d’un grand réservoir à la sortie du tunnel. Mais même si le débit des captages diminue en période d’étiage ,il sera suffisant pour remplir le réservoir et fournir de l’eau potable d’excellente qualité à la population des hauts de l’ouest .

    Nous avons pu réaliser un tunnel de 35Km de long pour transporter de l’eau depuis Salazie Jusqu’à Saint Paul pour l’agriculture . Nous devrions pouvoir construire un tunnel de de 3 ou 4 km de long pour pour alimenter correctement en eau potable la population des hauts de l’ouest en période d’étiage . Mais l’intérêt de ce projet de tunnel c’est aussi de réaliser une autre route pour accéder au cirque de Cilaos qui est souvent isolé pendant la saison des pluie . Avec un peu de chance et un travail bien fait, les deux routes ne seront pas fermées en même temps. Il faudra probablement créer des cheminée pour aérer le tunnel , mais ce n’est pas impossible à faire .

    Enfin , même si ce projet coûtera relativement cher , il sera rentable économiquement par ce que en plus de la distribution d’eau dans les hauts de l’ouest , il permettra un meilleur accès au cirque de Cilaos ,mais aussi une exploitation par l’ONF des richesses de la forêt de Tapcal et une augmentation des surfaces agricoles de la commune , mais il sera rentable surtout socialement parce qu’il permettra du donner du travail à de nombreuses familles qui actuellement n’ont pas d’autres alternatives que de recevoir de l’aide sociale d’une manière ou d’une autre . Quand on peut le faire, il vaut mieux donner du travail au gens plutôt que de payer leur oisiveté parce qu’il faut bien qu’ils puissent vivre. La vraie solidarité que nous impose contre devise nationale doit consister à donner du travail bien rémunéré aux gens, plutôt que de leur donner le minimum nécessaire pour vivre à ne rien faire . Et à mon avis au lieu de privilégier des travaux pharaoniques qui pompent toutes nos ressources sans vraiment donner du travail aux réunionnais il vaudrait mieux choisir à chaque fois que c’est possible de réaliser des projets plus modestes dont l’intérêt n’est pas contestable, mais qui permettent de donner du travail au chômeurs .

    On se rend compte que la population des hauts de l’ouest souffre déjà beaucoup du manque d’eau potable pendant la saison sèche et cette situation va probablement s’aggraver dans les prochaines années avec le réchauffement climatique . Il est peut être temps de prendre des mesures pour y remédier définitivement, surtout si on peut faire d’une pierre deux coups et améliorer en même temps la situation des habitants de Cilaos .

  • Si on part de l’altitude d’environ 1000 m sur le flan ouest de l’ile de la Réunion pour aller en tunnel dans le cirque de Cilaos on devrait déboucher dans le cirque entre l’altitude 1020 et 1050m. Et dans ce cas le meilleur point d’arrivée serait du côté de Grand coude ou ’l’on pourrait construire un barrage dans lequel serait acheminées naturellement ou par des conduites toutes les eaux des sources que l’on pourrait capter à l’altitude supérieure à 1050m , que ce soit sur le plateau de sources depuis l’ilet à père , sur l’let songe, l’ilet Bétoung ,et la forêt de Tapcal , mais aussi dans le bras d’Eustache .

    Un captage à la source à la sortie de la montagne des divers points d’eau réduirait considérablement la perte de débit par infiltration , si bien que dans les meilleures conditions on pourrait disposer d’un débit moyen de l’ordre de 400 litres par seconde d’eau potable pour les hauts de l’Ouest .

    Le barrage réalisé au niveau de Grand coude et le réservoir que l’on construirait dans les hauts l’ouest pourrait permettre de constituer une réserve suffisante pour parer aux pics de consommation ..Comme le tunnel routier déboucherait à Grand coude ,il est facile de rejoindre la route de l’ilet à corde et de réaliser une route forestière pour l’exploitation de la foret de Tapcal mais aussi de monter jusqu’aux ilets songe et ilets source qui pourraient être de nouveau être affectés à l’agriculture ou transformés en forêt exploitables .

    Cette opération qui ne devrait pas coûter excessivement cher réduirait sensiblement la quantité d’eau qui arriver au captage du pavillon mais il ne serait plus nécessaire d’utiliser les eaux du Pavillon provenant du bras de Cilaos du Bres sec et du bras de Palmiste rouge comme eau potable . Ces eaux seraient exclusivement affectées à l’usage agricole ou industriel . Tandis que les périmètres des captages des eaux passant par le tunnel de Grand coude seront protégés naturellement puisque ils ne seront pas concernée par une activité humaine .on pourrait même envisager l’installation d’une usine d’embouteillage de l’eau de sources à coté de barrage pour les eaux venant de l’ilet source qui peuvent être captées à la sortie de la montagne .
    joseph Luçay Maillot

  • Ce projet de construire un tunnel reliant les hauts de l’ouest et l’ilet de Grand coude dans le cirque de Cilaos pour permettre un deuxième accès au cirque mais en même temps pour fournir de de l’eau potable à la population des hauts de l’ouest en captant les nombreuses sources qui jaillissent des remparts du cirque de Cilaos coté ouest , pourrait également , s’il était réalisé rapidement , avoir une autre utilité , celle de permettre l’achèvement de la digue de la nouvelle route du littoral qui est actuellement bloquée faute de matériaux pour la terminer .

    En effet le creusement d’un tunnel de deux voies permettant également l’installation d’une grosse canalisation pour le transport de l’eau va fournir beaucoup de déblai dont une grande partie pourrait être utilisée pour la construction de la digue entre la Grande chaloupe et la Possession .

    Comme nous devons terminer le plus rapidement notre fameuse digue , nous pourrions peut réaliser très rapidement les études techniques de ce tunnel et passer un marché de gré à gré avec l’une de entreprises qui construisent la digue pour qu’elle creuse également ce tunnel entre Cilaos et les hauts de l’ouest . Et en utilisant un tunnelier pour creuser ce tunnel on pourra faire d’une pierre quatre coups : 1)terminer la nouvelle route du littoral ,2) créer une nouvelle route pour aller à Cilaos, 3 ) fournir à la population des hauts de l’ouest toute l’eau potable dont elle a besoin pour faire face aux conséquences du réchauffement climatique ,4) donner du travail aux transporteurs pour l’acheminement des matériaux nécessaires à la digue et offrir de l’emploi à de nombreux nombreux réunionnais.

    Le code des marches publics permet la signature de matchés de gré à gré pour faire face à l’urgence .Et Il est urgent de terminer notre route du littoral mais aussi de fournir de l’eau potable à une grande partie de la population des hauts de l’ouest avant que la situation ne devienne dramatique et de désenclaver définitivement le cirque de Cilaos qui est notre joyau touristique et fait partie du patrimoine de l’humanité ,puisque tous les hauts de la Réunion ont été intégrés par L’ONU dans le patrimoine de l’humanité , et à ce titre devrait bénéficier d’une attention particulière .

  • Il faut rectifier la longueur du tunnel que j’ai indiqué pour relier les hauts de l’ouest de la Réunion à l’ilet Grand Coude dans le cirque de Cilaos .
    Selon les indications de la carte au 25000eme réalisée par l’IGN la longueur du tunnel pour relier le Grand coude entre 980 m d’altitude d’une part et 1030 d’altitude d’autre part , serait de 10Km en démarrant au dessus de l’église de Notre dame des champs à Colimaçon et de 11 Km en démarrant au dessus de la ville de trois bassin à coté de la ravine des trois bassins . Il est peut être préférable de passer par Colimaçon plutôt que par Trois bassins s’il n’est pas nécessaire d’élargir le chemin départemental qui monte à colimaçon depuis l’échangeur de la route des tamarins .pour permettre le passage des grands bus

    Si ce projet était réalisé , la distance entre le centre ville de Cilaos et l’échangeur de colimaçon sur la route des tamarins seraient d’environ 35Km , soit à peu près la même distance entre Cilaos et Saint Louis . Mais comme la route de l’ilet à cordes qui passe sous les trois Salazes est dangereuse compte tenu du risque important d’éboulis en cas de pluie on peut aussi ouvrir une nouvelle route qui passerait par le Bras rouge pour aller de l’ilet à cordes à Cilaos. ce qui pourrait réduire sensiblement la longueur du trajet . La route de la ravine fleurs jaunes resterait toujours ouverte comme route touristique mais également forestière puisqu’elle permettrait d’accéder à la foret de Tapcal .

    Avec un tunnel de 10Km de long et des ouvrages relativement importants pour le captage de l’eau et son acheminement sur la cote ouest de l’ile ce projet coutera cher ,mais vu les avantages qu’il peut apporter aux réunionnais , il mérite certainement l’attentions de nos décideurs politiques et administratifs .

  • Petites villes de demain inspire au projet PAT projet alimentaire territorial avec une ferme pilote ( projet agro-biologique) pour la formation et l’expérimentation en agriculture.

    De quelle agriculture parle t- on : permaculture, agroécologie, agroforesterie.

    Créer des jardins vivriers alternatifs alimentaires semenciers expérimentaux " jardins pilotes en site expérimental" en lien avec le projet agro-biologique " réseau de jardins en agroécologie", " réseau d’espace agricole sensible, réseau associatif pour le projet alimentaire territorial" afin de sensibiliser le public à une agriculture respectueuse de l’environnement.

    Quelle place pour les jardins et l’agriculture vivrière citoyenne ?

    Quelles mesures incitatives permettant la mise en place de démarches participatives " multi-acteurs" pour inciter à l’émergence de dynamique collectives " maillage associatifs" .

  • Petites villes de demain et le plan alimentaire territorial au sein d’un réseau associatif pour la transition écologique appelle a l’autonomie alimentaire et semencière.

    Et si nous nous inspirons des peuples qui résistent au développement " compétition, concurrence" et qui cultivent de manière autochtone " savoirs faire traditionnels : permaculture, agro-ècologie, agroforesterie" pour ouvrir dans nos cultures " occidentale ; mondialisation" des portes de sortie au développement destructeur " consumériste, productivisme, profit" de la vie écologique et sociale " coopération, lien social.

    Structurer et accompagner des organisations associatives génératrices de circuits courts , de lien social et de cohésion communautaire.

    Mouvement graines de vie ...

  • Enfin pourquoi ne pas exploiter le dénivelé de plus de 1000 m qui existe entre l’ilet grand coude et le sommet de la montagne du cirque de Cilaos pour construire une usine hydroélectrique qui fonctionnerait en circuit fermé par pompage de l’eau vers le sommet en installant plusieurs paliers de pompage pour réduire au minimum la consommation d’énergie nécessaire pour transporter l’eau jusqu’au sommet où elle serait stockée dans un réservoir assez grand pour alimenter une chute d’eau par conduite forcée vers une ou plusieurs turbine hydraulique située au même niveau que l’installation de pompage .
    Si on peut monter 400 l d’eau par seconde avec des pompes sans consommer beaucoup d’électricité , en revanche on peut produire beaucoup d’énergie électrique avec un débit de 400 litres d’eau par seconde et une hauteur de chute d’environ 1000m . Pour créer ce circuit fermé il faut construire deux réservoir , l’un en bas et l’autre en haut et et deux canalisations longeant la montagne , l’une pour monter l’eau et l’autre pour la descendre . le pompage de l’eau vers le haut pourrait se faire en heure creuse ; la nuit et le week end , tandis que la production d’électricité pourrait se faire pendant les pics de consommation de la journées et du soir avec éventuellement un débit plus important que 400 litre par seconde selon le volume d’eau contenu dans le réservoir situé en haut .

    Bien entendu cette usine hydroélectrique en circuit fermé entre deux réservoirs n’empêcherait pas l’acheminement de l’eau vers les hauts de l’ouest en passant par le tunnel qui pourrait être réalisé pour relier Cilaos et la ville des trois bassins . Le débit du captage de Pavillon pour le périmètre irrigué du bras de Cilaos serait légèrement réduit , mais resterait suffisant car actuellement sur les 400 l seconde disponible à 1000 mètres d’altitude, les trois quarts n’arrivent pas jusqu’au Pavillon , mais s’infiltre dans le sol .

    Il existe actuellement sur le marché européen et international des pompes qui peuvent monter 500 litres d’eau par seconde jusqu’à une hauteur de 900m d’altitude pourquoi ne pas étudier la faisabilité de cette idée d’usine hydroélectrique fonctionnant avec de l’eau pompée sur une grande hauteur pour être renvoyée en bas dans une conduite forcée pour produire plus d’énergie qu’il a été nécessaire pour la monter . Surtout si on pompe en heure creuse et on produit de l’électricité en heure pleine pendant les périodes de pics de consommation . Si en plus on peut construire un autre accès au Cirque de Cilaos plus sécurisé et plus proches des plages de l’ouest et de villes de Saint Paul et de Saint Denis . Tout le monde y gagnera même s’il faudra quand même investir pas mal d’argent dans ce projet qui est important ,mais quand même pas aussi titanesque que celui de la nouvelle route du littoral entre saint Denis et la Possession ;

  • La lute contre le réchauffement climatique passe par la réduction de la consommation de combustibles fossiles tels que le charbon le pétrole et le gaz pour la production d’électricité .Et si on ne veut pas tomber de Caribe en Sylla il nous faut aussi éviter d’utiliser l’énergie nucléaire qui ne pollue pas l’atmosphère mais représente un danger très grave d’irradiation des terres environnantes en cas d’accident dans une centrale nucléaire ou de catastrophe naturelle qui détruirait une centrale , et par conséquent , tant que l’on n’aura pas maitrisé d’autres moyens de produire sans risques graves notre énergie électrique il nous faut privilégier les moyens traditionnels qui sont actuellement utilisés tels que les centrales hydrauliques , les usines marée motrices, les éoliennes, les usines géothermiques ....

    Tous ces moyens peuvent être utilisés à la Réunion ,mais on constate que l’essentiel de notre production d’électricité est basée sur la consommation de combustibles produisant des gaz à effet de serre ( pétrole charbon , bagasse ) alors qu’il existe un énorme potentiel pour les énergies non polluantes . Selon les chiffres officiels l’énergie hydraulique ne représenterait que 20% de la production totale d’électricité à la Réunion , alors que que nous disposons encore d’un énorme potentiel d’exploitation de cette ressource.

    Si nous voulons lutter efficacement contre le réchauffement climatique il nous faut créer un servie public qui serait chargé de recenser tous les sites où l’on pourrait produire de l’électricité sans produire des gaz à effet de serre et de proposer un programme de réalisation des investissements nécessaires.

    Je rappelle à l’occasion que j’ai déjà fait plusieurs propositions en ce sens , notamment capter l’eau des crues pour la stocker dans dans des grandes retenues naturelles qui pourront alimenter par gravitation des usines hydrauliques . C’est possible sur le site du grand étang à Saint Benoit mais aussi ailleurs . Installer des éoliennes là ou le relief permet de disposer naturellement de suffisamment de vent pour les faire fonctionner efficacement , par exemple sur le site du Colorado à Saint Denis. Mais aussi utiliser les grands dénivelés de nos montagnes pour créer des usines hydrauliques fonctionnant grâce à un dispositif pour faire monter l’eau jusqu’au sommet que ce soit par pompage de l’eau , par élévation de la vapeur d’eau qui se transformera en eau au sommer ou par téléphérique si l’énergie nécessaire pour monter l’eau est moins importante que l’énergie qu’elle pourra produire en retombant sur des turbines hydrauliques et si elle peut coûter moins cher.

    Chaque année les catastrophes naturelles amplifiées par le réchauffement climatique causent des dégâts qui peuvent être chiffrés par centaines de milliards et tuent des dizaines de milliers de personnes . Il est plus qu’urgent de réagir et de démontrer que nous pouvons vivre sans détruire notre planète . Il y a sans doutes de grands investissements internationaux à réaliser pour modifier le climat à l’échelle planétaire mais on peut aussi agir à l’échelle des communes des départements et des régions ou des Etats en privilégiant la production d’énergie renouvelable . Il ne suffit pas d’en parler , il est temps de passer à l’action sérieusement même si au départ il faut peut être payer plus cher que la combustion de pétrole de gaz et de charbon , l’essentiel d’arrêter à tout prix ce réchauffement climatique avant qu’il ne soit trop tard .

  • "Gaz, électricité, bois : pourquoi les prix flambent ?", c’est le sujet de la TB émission "C dans l’air" sur France 5,visible en semaine à 19h45 jusqu’à 21h à la Réunion. On a expliqué, montré que tout est lié, normal, dans notre économie mondialisé, et la Covid le prouve bien aussi. Il va falloir en même temps, économiser, moins polluer, et investir au lieu de consommer sans penser à demain, de vivre au jour le jour, mais plutôt oser changer, en mieux, résister aux sirènes de la consommation, la mode qui se démode, bref, il y a de quoi faire ici aussi ! C’est comme pour les transports, faisons au plus vite des transports gratuits, modernes, tels que le futur train TER péi " Ste Rose-St Joseph", ouf, ça urge, aujourd’hui, on vient de passer le cap, qui arrive de plus en plus tôt où le monde a consommé ce que la planète a généré ! Normalement, cette date devrait logiquement être, le 31 Décembre, on s’en éloigne, aie aie aie, ça promet pour l’avenir, attention, planète en danger ! Arthur.

  • L’autonomie à la Réunion, plus qu’une utopie, c’est une nécessite, comme pour les énergies, un beau projet qui apportera travail et dignité, de la semence au produit fini, emballé, lui aussi de manière durable, avec le soucis de la préservation de la planète, à commencer par la Réunion, cela servira aussi au passage d’exemple à d’autres îles, départements, régions et pays. C’est à la fois ambitieux et nécessaire car, à l’inverse, on se rend de plus en plus compte que la direction que l’on a prise n’est pas vraiment la bonne, sauf pour une minorité, toujours la même aux manettes qui ne cherche que le plus gros profit, le plus rapide aussi, tel celui qui coupe la branche sur laquelle il s’est réfugié, ou bien la poule aux oeufs d’or, le "tout de suite, maintenant sans aucun souci, ni sens altruisme, ni humilité, une honte !
    Quand on pense que même le sel est importé sur notre île !... J’ignore combien la Réunion consomme de sel, surtout ici pour la cuisine, contrairement à la métropole où il sert aussi dans l’industrie et les hivers pour dégeler les routes, bref. Imaginez les repas familiaux, les cantines, de celles des établissements scolaires aux hôpitaux, les prisons et les trop rares restaurants d’entreprise, et les autres qu’apprécieront encore plus les touristes, venus de loin.

    Alors au boulot, sans découragement, ni résignation qui ne mème à rien. En 1945, imaginer un système de retraite, les allocs familiales, ça aussi, cela paraissait utopique, et pourtant, cela à rendu bien des services aux futures générations françaises.
    Pour tout ça, il faut du courage, de l’obstination, de l’organisation. Comme pour le futur train TER péi Ste Rose-St Joseph. Bon WE zot tout, même confinés mais toujours protégé, Arthur.

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