
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
160 millions d’enfants contraints de travailler, nombre en augmentation à la cause de la COVID-19
21 mai 2022
A Durban en Afrique du Sud, les délégués à la 5e Conférence mondiale sur l’élimination du travail des enfants s’unissent pour demander que l’on fasse davantage pour mettre fin au travail des enfants. Les derniers chiffres montrent que 160 millions d’enfants, soit près d’un enfant sur dix dans le monde, travaillent encore. Les chiffres sont en hausse et la pandémie menace d’annuler des années de progrès. Le travail des enfants a particulièrement augmenté dans le groupe d’âge des 5 à 11 ans.
La 5e Conférence mondiale sur l’élimination du travail des enfants a lieu cette semaine à Durban, en Afrique du Sud, avec un appel à une action urgente pour combattre le nombre croissant d’enfants qui travaillent.
S’exprimant au début d’une semaine de discussions à Durban, en Afrique du Sud, et en ligne, le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a demandé aux délégués de s’engager à prendre des « actions de grande envergure » pour faire une différence dans la vie des enfants.
« Nous sommes ici parce que nous partageons la même conviction : le travail des enfants sous toutes ses facettes est un ennemi. Le travail des enfants est un ennemi du développement de nos enfants et un ennemi du progrès. Aucune civilisation, aucun pays et aucune économie ne peut se considérer comme étant à la pointe du progrès si son succès et ses richesses ont été construits sur le dos des enfants. »
Son appel a été repris par le Directeur général de l’Organisation internationale du Travail (OIT), Guy Ryder.
« Certains diront peut-être que le travail des enfants est une conséquence inévitable de la pauvreté et que nous devons l’accepter. Mais c’est faux. Nous ne pouvons jamais nous résigner au travail des enfants. Nous n’avons pas à le faire. Il est essentiel de s’attaquer aux causes profondes, comme la pauvreté des ménages. Mais ne vous y trompez pas, le travail des enfants est une violation d’un droit humain fondamental, et notre objectif doit être que chaque enfant, partout, en soit libéré. Nous n’aurons pas de repos avant d’y arriver. »
Alors que la date limite de 2025 des Objectifs de développement durable de l’ONU pour l’élimination du travail des enfants approche, de nombreux orateurs ont souligné le besoin urgent de récupérer les progrès qui avaient été réalisés dans de nombreuses régions avant la pandémie de COVID-19.
Les derniers chiffres montrent que 160 millions d’enfants, soit près d’un enfant sur dix dans le monde, travaillent encore. Les chiffres sont en hausse et la pandémie menace d’annuler des années de progrès. Le travail des enfants a particulièrement augmenté dans le groupe d’âge des 5 à 11 ans.
C’est la première fois que la Conférence mondiale sur l’élimination du travail des enfants a lieu en Afrique – une région où, selon les chiffres, le nombre d’enfants qui travaillent est le plus élevé et où les progrès sont les plus lents. La plupart du travail des enfants sur le continent – environ 70 pour cent – se fait dans l’agriculture, souvent dans des contextes où les enfants travaillent aux côtés de leur famille.
La conférence s’appuie sur les quatre précédentes Conférences mondiales, tenues à Buenos Aires (2017), Brasilia (2013), La Haye (2010) et Oslo (1997), qui ont permis de sensibiliser au problème, d’évaluer les progrès, de mobiliser des ressources et d’établir une direction stratégique pour le mouvement mondial contre le travail des enfants.
La conférence devrait se conclure par un Appel à l’action de Durban qui présentera des engagements concrets pour intensifier les actions visant à éliminer le travail des enfants.
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