
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Opérations policières visant les réfugiés à Paris
22 septembre 2016
Dans un courrier envoyé ce jour au Préfet de Police, 9 associations l’appellent fortement à revenir sur les décisions d’éloignement que ses services ont délivrées depuis cet été aux exilés en recherche de protection.
La saturation du dispositif d’accueil à Paris empêche les personnes d’entrer dans la procédure de demande d’asile et de bénéficier d’une mise à l’abri prévue par les textes internationaux. Cette situation contraint les personnes à rester aux abords des locaux de FTDA, chargée de délivrer les rendez-vous en préfecture, sans lesquels il est impossible de déposer une demande de protection. Tant que ces personnes exilées n’ont pas obtenu ce rendez-vous, elles sont considérées comme en situation irrégulière, et ont donc de forts risques d’être placées en rétention et expulsées avant même d’avoir pu exposer les persécutions qu’elles craignent dans leurs pays. La plupart des personnes concernées sont originaires du Soudan, d’Afghanistan, de Somalie ou encore d’Érythrée, pays où les risques de persécutions et d’atteintes aux droits humains sont avérés.
Bien que connaissant parfaitement la situation sur laquelle ils ont été alertés, les services de la préfecture de Police ont mené des opérations policières dans ces lieux de regroupements « forcés ». Ils ont délivré des mesures d’éloignement à des personnes qui cherchaient à déposer une demande d’asile. Les associations signataires du courrier ont eu connaissance de 209 cas, mais cette situation en touche certainement bien plus.
Nous demandons que l’ensemble des exilé·e·s qui cherchent une protection puisse enregistrer immédiatement leur demande d’asile et que les obligations de quitter le territoire prises à leur encontre soient abrogées. Nous demandons également l’arrêt immédiat des interpellations massives et des brutalités policières.
Signataires :
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
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