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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Selon un rapport de l’ONU
15 avril 2021
Selon un rapport de du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), près de la moitié de toutes les femmes se voient refuser leur autonomie de décision, ce qui les expose à un risque plus élevé de violence sexiste et de pratiques néfastes telles que le mariage précoce.
Près de la moitié des femmes dans quelque 57 pays n’ont pas le pouvoir de faire des choix concernant leurs soins de santé, leur contraception ou leur vie sexuelle, a révélé un nouveau rapport des Nations Unies publié mercredi.
Selon le rapport sur l’état de la population mondiale du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), le manque d’autonomie de décision pourrait s’être aggravé pendant la pandémie de coronavirus, exposant un nombre record de femmes et de filles à des risques de violence sexiste et de pratiques néfastes telles que mariage.
« Le fait que près de la moitié des femmes ne peuvent toujours pas prendre leurs propres décisions quant à l’opportunité d’avoir des relations sexuelles, d’utiliser la contraception ou de se faire soigner, devrait nous scandaliser tous », a déclaré Natalia Kanem, Directrice exécutive du FNUAP, dans un communiqué de presse annonçant les résultats.
« En substance, des centaines de millions de femmes et de filles ne possèdent pas leur propre corps. Leur vie est gouvernée par d’autres », a-t-elle ajouté, notant que le déni du droit d’être maître de son propre corps est une violation des droits fondamentaux des femmes et des filles. Elle renforce également les inégalités et perpétue la violence résultant de la discrimination fondée sur le sexe.
« Ce n’est rien de moins qu’un anéantissement de l’esprit, et cela doit cesser ».
Le rapport note également que le pouvoir d’une femme de contrôler son propre corps est lié au degré de contrôle qu’elle a dans d’autres domaines de sa vie, avec une autonomie plus élevée associée aux progrès de la santé et de l’éducation, des revenus et de la sécurité.
Parmi ses conclusions, le rapport a documenté plusieurs manières par lesquelles l’autonomie non seulement des femmes et des filles, mais aussi des hommes et des garçons, est violée, avec des facteurs tels que le handicap qui aggravent la situation.
Par exemple, les filles et les garçons handicapés sont près de trois fois plus susceptibles d’être victimes de violences sexuelles, les filles étant les plus exposées, selon le rapport.
Il a également noté que les environnements juridiques punitifs, combinés à la stigmatisation, à la discrimination et à des niveaux élevés de violence, exposaient les homosexuels et les autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes à un risque élevé d’infection par le VIH parce qu’ils sont chassés dans la clandestinité par crainte de poursuites ou d’autres conséquences.
En conséquence, ils ne reçoivent pas une éducation sanitaire appropriée et sont réticents à rechercher des services de santé, des tests et des traitements.
Le rapport ajoute qu’une vingtaine de pays ou territoires ont des lois dites « mariez-vous avec-votre-violeur », selon lesquelles un homme peut échapper aux poursuites pénales s’il épouse la femme ou la fille qu’il a violée, tandis que 43 pays n’ont pas de législation traitant de la question de viol conjugal.
Le rapport a également souligné comment les efforts visant à lutter contre les abus peuvent conduire à de nouvelles violations de l’autonomie corporelle. Par exemple, pour poursuivre une affaire de viol, un système de justice pénale peut exiger qu’une victime subisse un soi-disant test de virginité invasif.
Le rapport souligne que remédier à cette situation épouvantable « nécessite beaucoup plus qu’une série déconnectée de projets ou de services », soulignant que des progrès réels et durables dépendent en grande partie de l’élimination des inégalités entre les sexes et de toutes les formes de discrimination, et de la transformation des structures sociales et économiques qui les maintiennent..
« En cela, les hommes doivent devenir des alliés. Beaucoup d’autres doivent s’engager à s’éloigner des modèles de privilège et de domination qui sapent profondément l’autonomie des femmes, et à s’orienter vers des modes de vie plus justes et harmonieux, profitant à nous tous », a déclaré le Dr Kanem, exhortant chacun à contester la discrimination« où que ce soit et chaque fois qu’elle est rencontrée. »
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