
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Journée internationale du 8 mars
8 mars 2017
Le thème 2017 de la Journée internationale des femmes du 8 mars célébrée par l’ONU est « les femmes dans un monde du travail en évolution : pour un monde 50-50 en 2030 ».
L’ONU a décidé de placer la commémoration du 8 mars sous le signe de la lutte contre les inégalités dans le travail. Le monde du travail évolue, avec d’énormes conséquences pour les femmes. D’une part, les avancées technologiques et la mondialisation représentent des opportunités inédites pour celles qui y ont accès. D’autre part, l’informalité du travail, l’inégalité des revenus et les crises humanitaires ne cessent d’augmenter.
75 % des hommes en âge de travailler participent au marché du travail, contre 50 % des femmes et, dans certaines régions, le taux de chômage des jeunes femmes est largement supérieur à celui des jeunes hommes.
Ces écarts montrent que les femmes qui souhaitent travailler ne peuvent pas toutes le faire. Certaines sont découragées par des préjugés sexistes. D’autres ne parviennent pas à surmonter les obstacles tels que l’absence de congés parentaux et les responsabilités qu’elles doivent assumer en matière de dispense de soins à leurs enfants et à d’autres personnes à charge. Quelle que soit la raison, il n’en demeure pas moins que les femmes disposent d’un droit à participer de manière équitable. En outre, leur contribution potentielle à l’économie est sans équivoque – une hausse de 28 000 milliards de dollars US du PIB annuel mondial d’ici 2025.
Un trop grand nombre de femmes occupent des emplois informels pour lesquels elles sont peu rémunérées ou bénéficient d’une protection très limitée de leurs droits.
La discrimination basée sur le genre amène à une concentration inéquitable des femmes dans des emplois tels que vendeuses de rue, travailleuses domestiques et agricultrices de subsistance, ainsi que d’autres professions informelles. Pour les femmes qui possèdent peu de qualifications ou de connaissances sur leurs droits, ou encore pour celles qui ont migré vers un autre pays, les emplois informels peuvent être leur unique chance de gagner leur vie.
De manière générale, les emplois informels sont mal rémunérés. Du fait qu’ils ne sont pas couverts par les lois du travail, ces emplois peuvent être précaires et n’octroyer aucun accès à des services de prestations sociales tels que la retraite, les indemnités de maladie et l’assurance de santé. À l’échelle mondiale, 57 pour cent des travailleuses domestiques ne bénéficient d’aucune restriction sur leurs heures de travail.
La célébration organisée par les Nations Unies le 8 mars rappellera à tous les acteurs de franchir le pas pour l’égalité entre les sexes pour un monde 50-50 d’ici 2030, en faisant en sorte que le monde du travail accueille toutes les femmes.
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